Sous ses airs de junkie, elle reste néanmoins belle comme un coeur ! ♥

Sei est une jeune femme de vingt-deux ans, et elle fait à peu près son âge. On ne peut pas dire qu’elle soit particulièrement grande, étant donné qu'elle ne dépasse pas le mètre soixante-quinze, mais les traits de son visage la rendent suffisamment adulte pour qu’on ne la confonde pas avec une gamine de treize ou quatorze ans. Au niveau des formes, elle à l'air maigrichonne à première vue... Mais elle a une sacrée poigne à vous faire trembler. Du moins en apparence. Parce que, ne vous y trompez pas, Sei-chan possède une force physique sans rapport avec sa stature corporelle, et il y a bien de quoi vous surprendre. Vous pourriez donc sans problème, et malgré les apparences, l’engager comme videuse dans une boite de nuit.

✖ Peau : La peau de Sei est sans imperfections. Elle n’a jamais eu beaucoup d’acné, et le peu qu’elle a pu avoir pendant l’adolescence était épars, diffus, très occasionnel, et immédiatement traité. Maintenant quelle devient adulte, les bourgeonnements déjà rares, s’espacent encore. Son teint a tendance à changer très vite, parce qu’elle bronze très facilement. L’exposition à quelques rayons de soleil pendant une heure suffisent. Elle attrape rarement des coups de soleils, mais elle n’est jamais blanche comme un cachet d’aspirine. Disons donc qu’elle conserve un teint hâlé. Ses traits, fins et réguliers, lui confèrent une beauté harmonieuse, et certaines particularités un peu tordues, comme son sourire malicieusement énigmatique, le font reconnaître entre tous, et lui donnent un charme certain.

✖ Chevelure : Elle est d'un noir comme le charbon, à côté de Hibari Kyoya on pourrait dire que ces deux-là se ressemble même si le lien familiaux n'est pas. Coupés mi-longs, ils lui arrivent jusque devant les yeux, et tombent jusque derrière ses omoplates, laissant ses oreilles apparentes. Fervente admiratrice la longue chevelure de Squalo, elle essaye de les pousser un maximum pour les recouper une fois qu'elle estime que c'est suffisamment long...

✖ Yeux : Il n'a pas les yeux comme les stars de cinéma ou comme le bleu d'un infini océan. Enfin si... Elle a des yeux de démons époustouflant, ils sont d'un rubis éclatant. Ses yeux expriment une multitude d'expression de visage en rendant sa couleur plus belle et plus sauvages quand deux sourcils se froncent de colère.

✖ Tenue vestimentaire : Parlons à présent de tout ce qui, dans l’apparence de Sei, relève de goûts personnels. Pour ce qui est des vêtements, par exemple, elle aime tout ce qui est simple, confortable et cool, et qui lui donne ce qu'ellel appelle «la classe». Que ce soit un T-shirt long ou près du corps, un manteau à long col, ou un sweat à capuche, elle peut varier les styles selon son humeur, comme on se déguise, ou comme un lézard change de peau. Rares sont les choses qui ne lui vont vraiment pas. Cela dit, elle a une nette préférence pour les couleurs sobres, comme le gris, le noir, ou le bleu, qui lui vont à ravir. Il est à noter que Sei est soucieux de son apparence, et qu’il aime agrémenter ses tenues d’accessoires qui complètent son look: bracelets, colliers, gants et mitaines kéfiehs, ceintures, bandeaux, bonnets, bagues...

Il est également à noter qu’elle a l’oreille gauche percée d’un anneau, qui avec sa chevelure désordonnée, contribue à lui donner un petit côté rebelle. D’ailleurs, cette acquisition étant relativement récente - cadeau d’anniversaire pour ses vingt-deux ans, son oreille n’a pas encore fini de cicatriser, et elle doit encore la nettoyer régulièrement.

On dit que les gardiens de nuage sont mystérieux ! faux ! Skull en est la preuve è.é !

Parlons en premier lieu sa personnalité la plus douce, celle qui fait d'elle une bonne larbin au sein de l'équipe des Varia. Sei est l'incarnation de la bienveillance et altruiste mais qu'il reste néanmoins très intelligent et sensible. Ouverte, et systématiquement à l'écoute des autres, Sei sait écouter, quelqu'un de compatissante, et de compréhensive. Elle se force de ne jamais juger sans savoir, et sait garder les secrets. Ce qui fait d'elle la confidente de certains membre de la Varia.

Si elle est discrète dans la vie privée des autres, ainsi que sur la sienne, elle l'est beaucoup moins dans la vie de tous les jours. Elle aime vivre et tenter les expériences mêmes les plus dangereuses pour se donner un opinion et d'apprécier le moment présent sans jamais se soucier les conséquences ce qui lui pose d'incroyable situation les plus abracadabrantes les unes que les autres. Ca ne se voit pas comme ça, mais elle a fait beaucoup de conneries très grave mais elle n'est pas méchamment rebelle (-si on exclut les meurtres, les vols, la drogue... *sort*-) et on la pardonne souvent contre un sourire navré. Parce que le sourire, c’est aussi un de ses leitmotivs: elle l’a presque en permanence sur les lèvres. Comme un Yamamoto Takeshi qu'on aimerait lui donner des baffes. Et elle adore le mettre sur celles des autres. Taquine, elle adore inventer tout un tas de plaisanteries pour enquiquiner...Ah non, emmerder son monde, c'en est sa spécialité. Maladroite, elle a le don pour se mettre dans des situations aussi improbables qu’inextricables, et il lui arrive souvent tout un tas de conneries. Surtout que c'est la première à chercher la bagarre >>

Face à la tristesse, Sei ne pleure jamais, du moins en public, mais ses yeux sont capables d’exprimer une palette étonnante de nuances de tristesse. Lorsqu’elle est triste, elle s’arrête généralement de parler, car les mots lui manquent toujours pour s’exprimer, et il laisse son corps ou son visage le faire. Alors on peut presque sentir son âme pleurer.

Rédigeons la partie de sa personnalité qui a fait d'elle un membre de la Varia. D'abord au combat c'est une vraie déchaînée, malgré sa gentillesse elle change totalement de personnalité. Elle frappe jusqu'au sang, elle en fait même des blagues douteuse sur un ton sarcastique... On ne va pas dire que Sei souffre d'une schizophrénie quelconque ; elle est juste légèrement dérangée comme la plupart des membres du groupe. Bien sûr, il lui arrive d'avoir de longue conversation mentale avec moi (je joue sa conscience >w>) et que dans ces moments là, elle démontre d'un vocabulaire très enrichies dans les insultes et autres joyeuseté galante. Ne nous leurrons pas, cette jeune femme a tout de même un sérieux problème de personnalité, et même de sérieux problème mentaux en générale. Surtout avec tout ce qui touche au sang. Si sa ne tenait qu'à elle, elle patogerait sans gêne dans une marre de sang. D'ailleurs, elle ne montre que cette partie de sa personnalité aux inconnus. Les gens de la Varia la connaisse maintenant assez qu'elle est doublement déranger et irritante... Si elle n'était pas aussi efficace et rapide sur le champ de bataille, Xanxus l'aurait déjà exterminé et Squalo se chargera de la découper tous ses membres avant de les jeter comme un mal propre dans les égoûts. 8DD

Dans cet état là attendez-vous de sa franchise époustouflante. Du genre directe, elle n’hésitera pas à dire ce qu’elle pense et même à n’importe qui, ce qui ne lui a pas toujours réfléchis, savez-vous qu’un chef d’un groupe de malfrat réputé d’un quartier de Osaka ne supporte pas qu’on dévoile à tout le monde qu’il aime se déguisait en petite fille pour se faire punir ? C’était si marrant. Je te rappelle que tu as failli finir enseveli dans un bloc de béton. Ça c’était moins marrant. Tu m’étonnes. Bref. La demoiselle n’a pas une réelle conscience du danger et ne manque pas de se faire blesser pour sa langue trop pendu. Cependant, quand je le dis plus haut, elle garde les secrets parce qu'elle est très proche de la Varia et très dévouée pour son boss et pour son bras-droit. Sauf Levi, parce qu'elle le qualifie de g"ros-pervers-dégoûtant-qui-l'épie-quand-elle-prend-sa-douche."

Que dire d'autre ? N'oublions pas que Sei est une tueuse. Une criminelle. Elle manipule aussi bien les hommes que les femmes. Elle veut que ses victimes ont peur. Tremblent. Qu'ils bafouille. Qu’ils tombent dans les pommes. Qu’ils se perdent. Qu’ils meurent. C’est une chasseuse, et quand l’envie de sang lui prend, Elle devient ce monstre. A cet instant moi-même je n’ai plus aucun contrôle sur Elle. Elle ne m’écoute pas. Elle n’est plus qu’une louve dangereuse guettant une belle proie. Oui. Tout d’un art. Elle aime la beauté de l’acte. Elle soigne ses entrées comme ses sorties. Elle devient une ombre silencieuse, apparaissant, troublante, effrayante, disparaissant. Aucune pitié dans son regard sombre. Elle charme. Elle trompe. Elle manipule. Elle ne cache pas ses intentions. « Je vais te tuer. Mais pas maintenant » Non. Jamais rapidement. Elle se montre étrangement patiente, tapis dans les ténèbres, elle guette, elle observe, elle jubile. De ce qu’elle inspire. Elle aime faire peur oui. Mais elle se lasse. De ses victimes. Elle lui faut constamment du sang frais. Elle n’aime pas la routine. Alors quand elle s’est trop lassée, elle tue. Puis elle repart en chasse. Inlassablement. Je tairais son nombre de victimes. Elle change beaucoup de ville. Elle cherche. elle le cherche. Lui. Celui qui lui tiendra tête. Celui qui arrivera à la fasciner assez. A briser cette routine qui l’insupporte. Après. Je ne sais pas. Elle est imprévisible. Qui sait. Peut-être qu’il aura la vie sauve. Ou peut-être qu’elle sera encore plus cruelle avec elle. Vous pensez vraiment que même en étant sa conscience je peux prédire ce qu’un tel monstre peu faire ? Ushushu ~

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01 :: Naissance

On dit que la plus belle chose pour une femme c'est de donner la vie. Toutes ces douleurs, toute la sueur pour voir sortir de nos entrailles un être humain qu'on le verra grandir, faire les premiers pas, le voir parler, le voir simplement en vie. Il parait que c'est un instant inoubliable, que l'émotion est-elle que les larmes dévalent le visage des personnes présentent dans une promesse d'un avenir fabuleux. Mais vous savez. Avec dés il parait on peut faire croire tout et n'importe quoi. Une conscience à de bien meilleur souvenir qu'une personne. Car si dans la tête de Sei cet évènement est aussi faiblement gravée qu'une blessure profonde sans images ni son. Chez moi. Je me souviens de tout. De l'odeur de sang. Ces cris faiblards qui sortent de la petite cage thoracique de nouveau-né. Ce regard. D'une froideur phénoménale. Oui. Ce fut une naissance comme il s'en déroule partout dans le pays. Des naissances avec dédain et indifférence. Tu viens au monde ? Une erreur humaine comme l'histoire en est marquée. Les premières choses que ces petits yeux bleus croisèrent ne furent pas la blancheur effrayante des hôpitaux et l'odeur des médicaments. Non. Ce fut ces chambres sombres et strictes. Ce grand lit froid. Ces draps trop propres. Les voix qui l'accueillirent ne fut pas des bafouillements émus entre deux sanglots de bonheur. Non. Ce fut juste le silence d'un je m'en foutisme effrayant. La mère de Sei venait d'accoucher mais, cela n'était dut qu'à une erreur de contraception. Une simple erreur. Un simple déni de grossesse. Et alors ? Tout cela devrait changer sa vie ? Non. Mais une nouvelle commençait ; Bien sûr. On nait d'une mère, mais aussi d'un père. Vous voyez cette chose tremblante dans un coin. Cette espèce de loque effrayée dans un coin. Cette espèce de loque effrayée dans un coin. Oui. Oui. C'est un homme. Vous savez cette espèce qui s'est toujours cru supérieur à la femme pour la simple chose qu'ils ont entre les jambes. Cette chose qui devrait contrôler le monde. Autant dire que chez lui ça doit mal fonctionner vu le statut de pion qu'il occupe. Oui. Le pion, celui qu'on sacrifie en début de partie. Voyant que sa femme ne s'occupait plus de cette masse de vie à l'état pur couverte de sang et d'autre liquide sur le lit, il rampa doucement. La force des faibles, c'est la pitié. Car il savait. Au plus profond de lui. Que ce petit être était condamné à ce rôle de pion face à cette femme terrible qu'il aimait pourtant, comme on aime ce qui nous détruit. Alors que sa femme était déjà dans son monde lisant un livre comme si elle venait de se réveiller, il attrapa ce petit bout de chair hurlant et le serra avec une douceur infinie contre son coeur. Et il pleura. Il pleura. Comme on pleure lorsqu'on voit la corde qui nous pend s'effriter et se détruire. Comme on pleure l'infime espoir d'avoir une vie meilleure, que tout va s'arranger. Non. Il le sait. Ça n'arrivera jamais. Et ces petits yeux bleus qui le fixaient en silence disait pareil. T'es foutu mon vieux. Moi par contre. Je n'aurais pas ta vie.

02 :: Enfance ~ L'amour maternelle

Passons aux années inutiles. Je vais m'attarder sur les évènements qui font de Sei la femme qu'elle est devenue maintenant. Les évènements qui constituent un passé forme le tout ce que nous sommes au présent. Tu venais d'avoir tout juste huit ans, ses enseignants te désignent particulièrement comme silencieuse, froide et qui ne semble pas avoir d'amis. Tu étais toujours plongé dans tes livres, dans tes musiques classiques, entre deux chants de ses chansons préférées. Non.. Tu ne parles à personne, tes parents n'ont pas le temps de t'occuper de toi de toute façon. Ton loque de père n'était rien, on entend toujours parler à l'école ; « Mon père c'est le plus fort. » « Mon papa il se fait obéir » « Mon papa il fait peur. »... Tu détestes son père, il te dégoûte. Oh, tu n'aimes pas du tout sa mère aussi, les enfants de l'école disent toujours du bien de leur maman ; « Ma maman elle vient me dire bonne nuit tous les soirs. » « Ma maman elle fait de bons gâteaxu » « Ma maman elle sent bon ». La Tienne, elle t'approche pas. Elle n'a pas d'odeur particulière, sauf le tabac et l'alcool. Ta mère ne fait jamais de gâteau, elle te nourrit avec des plats instantanés à réchauffer au micro onde. Elle te touche uniquement pour te traîner dans ta chambre.

Mais tu voulais savoir. Tu voulais savoir si tout ce qu'on raconte dans la cour de récré. Tu as fait cette erreur. Tu voulais savoir si cette chose fabuleuse existait ou si ce n'est qu'un tissu de mensonge. Tu avais ouvert la porte du salon, tu l'entendais rire devant des émissions de télé-réalité les plus débiles. Tu avais reculé de quelques pas, mais tu trouves tout de même la force d'avancer. Encore. De s'arrêter à quelques centimètres de cette femme au chignon strict. Son visage, si un jour avait été doux, était creusé de profonde ride. Elle ne te regarde pas. L'indifférence était son arme. Elle te demande de déguerpie. Elle dit que tu la gênes. Tu serres le bas de ta robe usée. Les yeux fixant droit sur elle. Tu parlas alors. De ta petite voix. Mettant dans tes mots toutes la foi et le courage qu'il pouvait rester dans ton coeur d'enfant :

« Dis maman, tu m'aimes ? »

C'est fou de demander ça à sa mère, non ? Il a ces parents qu'ils le disent tous les jours en serrant leur progéniture contre eux. D'autres qu'ils ne le disent jamais, mais qu'avec un regard et des gestes le prouvent quotidiennement en leur bourrant de cadeaux. D'autres qu'ils ne le disent et ne le montrent pas. Le doute s'installe. Jamais tu ne les as entendu dire de ces mots là... Elle se lève, elle sourit. Dans un instant, tu avais tellement cru qu'elle était après tout une maman.

« Je vais te montrer ce que c'est de l'amour. »

Tu ne bougeas pas. Tu la regardes juste s'approcher. Pourquoi tu n'as pas couru dans ta chambre ? Parce que j'avais trop peur à ce moment précis, mais je sais que cette punition humiliante doit être eu lieu. Pour ne pas refaire cette erreur. Pour ne plus lui poser cette question. Elle saisit tes cheveux. Tu pousses un léger cri de surprise et en même temps de douleur. Tout se passa vite. Elle te frappe à plusieurs reprises contre le mur. Tu pleures silencieusement. De désespoir, de haine et de souffrance. Le sang coule au niveau de ton front, elle ne s'arrête pas jusqu'à ce que tu t'en évanouisses.

02 :: Enfance ~ L'amour paternel

Une année à passée. La blessure s'est guéri mais, il reste une petite marque qui mettra des années à cicatrisée. Mais les souvenirs restent, comme écrit avec un marqueur indélébile. Ce petit moment de vie qui te marquera au plus profond de ton âme. Tu croises ton père dans les couloirs, ta mère était partie voir des amies de longue date et tu profitais de ce moment de répit pour parler avec lui. Oui, ce n'est que dans ces moments où ton pauvre loque de père redevient un père aimant et plein d'humour. Je n'ai jamais aimé son hypocrisie. Tu l'observes durant toute une semaine avant de te décider de t'en débarrasser. De toute manière, on lisait dans son visage une lassitude de la vie, avec une mère comme la mienne. Tu avais creusé un grand trou dans le jardin, pendant la journée tu le cachais avec du bois et des feuilles... Il fallait un prétexte pour qu'il rentre dans ce trou... dans ce trou noir où il connaîtra sa fin.

Le soir venu, tu étais du genre intenable. Ta mère allait bientôt revenir, les choses ne se passent pas comme tu l'avais prévu. Il s'inquiétait plus de l'état de ce cleb's que de moi. Tu as pris le chien et tu le balances dans le trou du jardin. Tu t'éloignes. Te cachant dans la partie la plus obscur du jardin. Le chien qui couine de plus en plus fort. Ton père sort et se dirige vers le trou. Tu le cognes contre la pelle et il tombe dans le trou. Tu le fixes pendant que le chien aboie. Le sang qui coule lentement de son crâne. Ce corps inerte sans vie. Des pieds nus. Des jambes recouvertes de poils. Un bassin, caché par un short d'une couleur des plus déprimantes. Un tee-shirt, portant sur le torse le logo d'un vieux groupe de rock anglais. Il est mort pathétiquement, avec aucune classe vestimentaire. Tu rebouches le trou. Tu retournes dans ta chambre. Tu avais de l'anglais à faire. Tu y travailles toute la nuit. Ignorant ta mère rentrait. Elle s'était doutée de quelque chose. Son mari n'allait plus jamais revenir. A cet instant précis, tu n'avais plus peur de rien. Quelque chose de mauvais en toi à germait. La mort est douce. La mort est un art. Un nouvel être commença à naître. Plus monstrueux que ta mère. Plus courageux que ton père.

03 :: Adolescence ~ Une génie meurtrière est née.

Les années passèrent. Ta mère avait abandonné l'idée de retrouver son mari. Elle t'a soupçonné durant un moment. Mais elle avait abandonné l'hypothèse de le faire quitter la maison. Maintenant qu'il est parti, il ne restait que toi pour s'amuser à son jeu de torture psychologique. Tu n'avais plus peur mais, tu te laissais faire. Tu attends. Tu le sens. Cette nuée de ténèbres au creux de ton coeur qui grandit doucement, qui apprend, qui se délecte de cet apprentissage de la vie. Oui. Mais le jour approche. Tu es une jeune fille à présent, seize années la fleur de l'âge. Tu as été admise dans un lycée prestigieux... Tu t'ennuyais à l'école de toute façon, avec un QI supérieur à la normale, tu as appris toute seule le français. Il fallait bien s'occuper à la maison. Mise à part ton intelligence, tu es devenue une belle fille mystérieuse et beaucoup de charme. Je suis comme un Don Juan au féminin. Une briseuse de coeur aussi. Elle était souvent accompagnée par des jeunes hommes ayant beaucoup de classe, beaucoup de charisme et qui se faisait voir par son argent. Les hommes t'offrent les plus beaux bijoux. Les plus beaux vêtements. Mais tu les revendais pour te garder un peu d'argent sur le compte... Tu gardais néanmoins les vêtements. Mais le plus important dans ce passage de ta vie adolescente, c'est l'éveil d'une personnalité des plus sadiques qu'il soit.

Ce matin fut un jour important dans ta vie. Tu regardais ta mère dormir. Oui, le jeu allait commençait. L'horloge cadran affichait 5:30 du matin. Mais rien dans ton attitude ne démontrait d'une quelconque fatigue. Tu attendais, comme un enfant attend que le père Noël passe, avec juste une dose d'impatience en moins. Elle ouvrit les yeux, doucement, comme si elle savait que quelque chose clochait. Elle fronça des sourcils, ces sourcils broussailleux et grisâtre qui avait avec le temps dessiner la ride du lion sur son front. Tu souris légèrement. Tu lui caresses la joue doucement en lui murmurant au creux de son oreille.

« Aujourd'hui, nous allons échanger nos rôles. La plus belle partie de ta vie va commencer. »

Dès lors. La partie commença. Une semaine de traque. Une semaine d'analyse. Une semaine de surprise de mauvais goûts. Le lundi, tu avais mis du sang de cochon sur son réveil qui lui vaut pousser des cris effroyables. Le mardi, tu as essayé de la pousser dans la cage de l'escalier, elle s'est retenue avec justesse sur la rambarde. Mercredi. Jeudi. Vendredi. Samedi tu avais pendu le chat en lui ouvrant le ventre. Oui tu jouais avec sa peur. Tu aimais ça. Pour toi c'était un jeu. De se nourrir de sa peur, de la voir dans tous ses états. Dimanche, mes amis, c'est le jour du seigneur. Tu t'es habillée spécialement pour cette fin délicieuse, cette scène où la méchante reine meurt mais d'une façon toute aussi originale et sadique. Tu l'attendais au coin de la rue. Elle sort du bar complètement bourrée. Tu la choppes en saisissant une scie soigneusement gardé au fond du garage pour cet évènement spécial.

« Ce soir, c'est ta fin. Avant que tu meurs dans d'atroces souffrances... J'ai enterré père vivant dans le jardin. Au même endroit où tu poses ton pied sur l'herbe fraîche avant d'aller travailler. »

Elle frémit de peur, tant de se débattre, de t'attraper par ta longue chevelure noire. Elle te regarde avec mépris même si on voit une once de cruauté. Tu avais planté la scie droit au coeur... Profitant de ce spectacle, tu lui découpes les membres pour finir par la tête. Tu as pris la tête sans corps, le sang coule sur ta peau. Tu ris. La mort est belle, non ? Tu jettes le reste dans les ordures, avec les déchets.

04 :: Une vie de mafieuse ~ La Varia.

Tu errais dans les rues de Tokyo sans but précis. Tu allais au gré de tes envies, là où le vent t'emmène. A l'exception près des villes où elles avaient trop fait parler de toi. Etrangement, une série de meurtre finit toujours par se faire remarquer. Car oui. Suite à cela, suite au meurtre parfaitement prémédité de ta mère, le chasseur présent dans ton coeur découvrit le plaisir de sentir la peur de tes victimes. Et tu ne t'en privas pas. C'était un passe -emps comme un autre pour toi. Cela faisait une année à présent que tu avais tué ta mère. Tu avais intégré un petit groupe de Yakuza dont tu en faisais partiellement partie... Tu tenais à ta liberté. Tu as appris à contrôler une flamme violette, qui te servais juste à donner des coups de poings. Des clients, majoritairement des femmes mariées, demandèrent à ces tueurs de tuer quelqu'un en particulier. Tu as accepté que les missions dont la somme d'argent était importante. Tu revenais chaque soir les mains pleines de sang. Le boss la jugeant un peu trop forte, il t'inscrit dans une école de mafia en Italie... Tu as appris d'ailleurs l'italien là-bas. Je dois l'avouer, c'est une très belle langue. Tu te faisais remarquer par tes meurtres que tu avais commis. Tu t'ennuyais presque. Jusqu'au jour où tu entends parlais de la Varia. Tu t'y rends. Le regard vide, tu n'avais dit une seule phrase celle ton intégration au sein de l'équipe. Il ne cilla pas... il t'a juste donné une petite boite blanche et une bague. Il te fait signer un contrat, la paie est bonne. Tu signes.

Liste des Techniques

Arme : La Faux de la propagation. Elle a une sorte de faux qui se relie entre elle pour trancher autour d'elle rapidement. La faux peut se détacher en deux partie et ainsi faire un combat corps à corps.
Anneaux : Anneau de la Varia de la brume et des anneaux du soleil jetable.
Boîtes-armes : Aucune
Boîtes animalières : Elle possède un hybride d'un croissement entre un loup et une chienne ; Une crocotte donc. Elle se nomme "Xana" en l'honneur de Xanxus qui lui offert la boite 8D.
Boîtes de stockage : La tavola alata [La planche ailée] - Un sorte de Snowboard où elle peut circuler librement dans les airs.
Techniques particulières :

Technique de nuages : PROPAGATION " l'attribut de type "Nuage" pourra absorber les flammes de Dernière Volonté des adversaires pour assurer sa propre croissance."

Nuage Toxique (Nuvola tossica) : Lors d'un forma combio avec son arme, Xana ouvre la gueule pour envoyer un nuage toxique au alentours pour déstabiliser l'adversaire. Elle n'est pas dangereuse mais diminue la flamme de l'adversaire.

Les sphères cumuluses (Il palle cumulis) : Avec sa faux elle projeter de petite sphère nuage par les deux bout de sa faux détachable a une vitesse incroyable.


Le ventre de la Crocotte (Il ventre del Crocotte) : Quand l'aura sadisme de Sei augmente, Xana grandit en se nourrissant de son aura. Il "mange" ainsi la victime en rentrant dans un nouvel environnement (comme les pics venimeuses de Hibari '-')... Il ne faut pas que l'ennemi s'approche du mur où il sera aspiré à tout jamais.

Technique du soleil : ACTIVATION " L'Attribut "Soleil" confère aux flammes la caractéristique d'Activation. Les Box de cet attribut seront alors pourvues d'une vitesse plus importante: que ce soit pour leur croissance ou pour leur multiplication (guérir plus rapidement).

Cercle curatif (Cerchio curativo) : grâce à son anneau d'attribut du soleil elle peut se soigner rapidement des blessures artificielles. Ses anneaux jetables (qui se casent après chaque utilisation) ne supportent pas les grandes flammes et ne peut donc pas soigner les blessures profondes.