En ce moment, je n’ai pas trop le moral, depuis que je suis gardien de la foudre des Katsuo, je m’ennuis un petit peu, même je déprime. Autant dire que la vie est cruelle…
Je partis à la pizzeria Katsuo pour me changer les idées, rien de mieux qu’une pizza Katsuo pour faire remonter la morale ! Mais le problème c’est qu’il y a souvent la mafia dans le coin et donc l’air est trop sérieux…
J’arrive devant le petit restaurant, j’entre délicatement mais la sonnerie gâche mon entrée surprise…

(Tant pis)

Tout le monde me regardais d’un air surpris, ils ne m’avaient peut êtres pas encore vus…

« Euh… Bonjour… Dis-je en bégayant»

Personne ne répondit, et ils se sont retournés vers leurs discussions et leurs pizzas, je me sentais un peu honteux…

Je m’assis à la table la plus écarté, les gens dans cette boutique ont l’air amicale, mais je vois tout de suite qu’il y en a qui font partit de la mafia, la preuve : il y a un arcobaleno pas très loin…
Je pris une pizza au thon avec du sel, j’ai demandé aussi le journal pour les Sudoku et les mots croisés, des jeux très compliqué pour certains…

La journée s'annonçait bien. Cela faisait bizarre de voir Namimori calme, en paix, alors qu'il y a dix an déjà une bataille avait fait rage en pleins centre du collège Namimori. Drôle d'endroit pour se battre quand même. Akira regardait par la fenêtre en souriant. Il avait changé, avait décidé de laisser derrière lui ce passé douloureux...mais sa haine face aux "mafieux criminels" n'avait pas changé. Cependant, il avait radicalement changé de comportement face à ceux avec qui il s'était allié pour vaincre les Millefiore. les mafieux n'étaient pas tous mauvais en fin de compte.

L'esprit ailleurs, il resta longuement dans son lit à observer le soleil grandissant dans le ciel, jusqu'à l'appel de son ventre criant famine. En effet, lorsqu'il se tourna vers le cadrant de son réveil, il était déjà 13h10. Le jeune homme, à présent âgé de 26 ans, se leva d'un mouvement rapide et alla se vêtir de son habituelle tenue verte, ou on pouvait observer des dentelles sur les manches et sur le col, ainsi qu'une queue en pie. Tenue de prince ? Hum...À vrai dire, il avait retrouvé ça dans les armoires de son défunt père, il avait auparavant demandé à ce que les affaires de ses parents soient gardées à la même place. Il se regarda dans une glace et natta ses longs cheveux qui lui arrivaient maintenant aux fesses, gardant bien sur des mèches plus courtes que d'autres sur le devant de sa figure, entourant son beau visage et faisant en sorte de ne pas cacher ses magnifiques yeux émeraudes.

Il se chaussa de bottes de cuirs au dessus d'un pantalon blanc, prit son katana qu'il cacha dans sa « robe » -au cas où- et se prépara à sortir. Il avait oublié d'aller acheter quelque chose à se mettre sous la dent, et donc, par pure flemme d’aller et revenir et de se faire lui-même son repas, il décida d’aller à la pizzeria Katsuo. Il savait très bien qui il allait trouver là-bas, mais il s’entendait assez bien avec eux. Prenant une grosse bouffée d’air, il sortit à l’air libre, profitant de ce temps radieux pour prendre tout son temps. Akira n’avait mis que dix minutes pour se préparer, et lorsqu’il quitta sa demeure il était 13h20. Le jeune homme marcha lentement, ignorant les remarques de certaines personnes qu’il croisa sur son chemin et qui critiquaient sa tenue avant d’arriver enfin à la pizzeria. Le restaurant était bondé, et la seule table où il y avait le moins de monde se trouvait…Aki Katsuo, boss de la famille Katsuo et remplaçant du chef de la famille Vongola XII. Il se trouvait en compagnie d’un autre Katsuo dont Akira ne se rappelait pas le nom…

Il s’approcha, passant de tables en tables tout en essayant de ne pas bousculer afin de les rejoindre. Il ne savait pas s’ils se souvenaient de lu, mais autant essayé. De plus, Akira avait totalement changé physiquement. Enfin…Seul son visage et la couleur de ses cheveux trahissaient son ancienne physiologie. Car maintenant, il était grand. Et avait bien la tête d’un jeune homme de son âge. Même s’il était toujours petit, surtout pour 26 ans….


Il souriait aimablement, sincèrement. Et son ventre grognait. L’odeur alléchante des pizzas ne faisait qu’augmenter sa faim.

Ahlàlà... Dire que j'avais passé une bonne partie du matin à me rabaisser à jouer avec des mômes de ma taille... En une si belle journée ! Ca gâchait tout. Mais bon, tout cela était fini maintenant, j'étais de nouveau chez moi, ou plutôt, chez la vieille dame qui avait accepté de m'héberger. J'étais crevé ! Ces mioches m'avaient bien fatigué... Je rentrai dans la salle de bain et me douchai, puis, quelques minutes plus tard, en ressortis et m'habillai. Nouvelle problématique, que faire ?

Mon ventre se mit à grogner. Problématique résolue... Mais je ne savais pas cuisiner, la nonna n'était pas là pour me faire à manger. Bon, et bien, plus le choix... Il fallait que je sorte goûter d'autres plats, surement moins délicieux que ceux qu'elle me préparait. Alors... Réfléchissons, où manger ? Tiens, ça faisait longtemps que je n'avais pas goûter de plats italiens ! Pourquoi pas une pizza ? Une pizzéria mafieuse était justement dans le coin. Destination, pizzéria Katsuo !

J'entrai dans le restaurent et pris place à une table, seul. Il commanda une pizza large avec un peu tous les composants proposés. Il allait se régaler ! Il patienta... Plusieurs personnes firent leur entrée après lui, dont visiblement le boss de la famille qui tenait ce restau, son gardien ainsi qu'un jeune homme aux allures royales. On aurait dit un prince...

D'autres personnes firent leur apparition. C'était un groupe qui n'inspirait pas confiance. Ils se dirigeaient vers moi. Qu'est-ce qu'ils me voulaient ? L'un deux me prit par le col et me "lança" à la table d'à côté, où siégeaient les trois individus précédents. Je rêvais... MAIS ILS SE PRENAIENT POUR QUI ?!! Je sortis me redressai et sortis mes griffes. Je me préparai à sauter sur le gang lorsqu'un des servants m'arrêta net. Pas semez de pagaille, ouais, ouais, dis le aux autres, là... C'est pas moi qui ai commencé ! Pfeuh ! Je me sentis obligé de me joindre aux trois autres.

J’ai complété 3 Sudoku, et 2 mots croisés en précisant que j’ai mangé ¼ de ma pizza quand Aki est venu me demander si ma table est libre, Je ne pouvais pas refuser, il s’assoit devant moi et me souriait, en quelque sorte j’imaginais à quel point son travail devait être dur, et donc il prend sûrement une pause. On parla pendant pendent 5 minutes et un individu dans un accoutrement pas très courant demanda à Aki si il pouvait rejoindre notre table, mon boss avait l’air de le connaître, mais je reste quand même sur mes gardes. Ont s’entendaient très bien, on peut même dire que ce Akira et moi pouvons être amis, il est intelligent, sympathique et c’est une personne très gentil ! Soudain, plusieurs mafieux sont entrés, ils n’avaient pas l’air très commodes…
Ils s’approchèrent de l’arcobaleno et le lancère vers nous, il essaya de se battre contre eux mais une servante le lui en interdit ! Je comprends un peu sa logique mais quand même ! Il demanda à nous rejoindre, on ne pouvait pas refuser. Il avait l’air triste, il s’est fait "battre" et ne peut pas se venger, j’essaya de réconforter son moral :

« t’en fais pas, une fois qu’ils seront sortis tu pourras régler leurs comptes ! Mais tu seras pas tout seul, on t’aidera !»

Il avait l’air mieux, mais je ne pouvais m’empêcher de regarder ses sales ordures, ils méritent une bonne leçon de ma part et des autres !

On a eu le temps de manger chacun nôtre pizza avant que les abruties partent, dommage, moi qui croyait que la journée serait relaxante, mais ce n’est pas mal non plus, cela faisait longtemps que je ne m’était pas battu…

Akira était toujours debout, attendant la réponse du jeune boss Katsuo, qui lui répondit « oui » quelques instants plus tard. Il s’assit en compagnie de celui-ci et de…Kumo ? Oui, tel était son nom. Il commanda vite fait une pizza qu’il mangea lentement. Elle était délicieuse, cela n’allait pas sans dire. Et c’est pourquoi Akira aimait beaucoup aller dans cette pizzeria. Cependant, ce qu’il n’aimait pas, c’était le fait que beaucoup de crétins y venaient pour y foutre le bazar, et ça le jeune homme ne supportait pas…N’appréciait pas. S’ils viennent, c’est pour manger, pas pour foutre la merde. En tout cas, il mangea tranquillement, sans se presser. Après tout, il avait tout son temps. Mais un bruit de porte s’ouvrant violemment le fit grimacer. Des emmerdeurs de première venaient d’entrer dans le restaurant. Ils se dirigèrent vers une table où se trouvait, semblait-il, un arcobaleno et le jetèrent sur leur table pour lui prendre la sienne. Fronçant les sourcils, Akira se retint de se lever et observa le « nouveau venu » sur la table, il venait de sortir ses griffes. Il s’apprêtait à attaquer les « racailles » lorsqu’une serveuse le rappela à l’ordre. Vu la mine que faisant maintenant Aki, il aurait bien voulut voir le combat.

Kumo avait raison, Akira avait une forte envie de foutre une raclée à ses mafieux inexpérimentés. Une fois qu’ils eurent fini leurs pizzas, Aki se leva, et s’approcha de ses hommes à l’allure plus que « crétine ».


Ils éclatèrent de rire, leur clope à la main. Akira n’appréciait vraiment pas leur comportement, et tout en se levant, il alla se placer aux côtés d’Aki.


Celui qui venait de parler semblait être le chef. Grand, corpulent et arrogant, la description nette d’un chef complètement stupide.



L’homme se leva et attrapa Aki par le col. Akira attendit, et sa patiente fut vite récompensée car le gang de mafieux s’en alla dehors afin de combattre Akira, Aki et les autres, qui sortirent à la suite. Le jeune Hatori, une fois à l’air libre, dégaina son sabre qu’il avait caché dans son dos et le pointa vers l’un des mafieux, un air sauvage dans les yeux. Puis sans attendre quoi que ce soit, il activa sa flamme de la foudre qui vint entourer sa lame d’une aura verte électrisée, et se jeta sur l’adversaire, le faisant tomber du premier coup.

»

Et il lui planta la lame électrique dans la bras gauche, envoyant un courant dans tout son corps par la même occasion..

Cela faisait environ 4 ans que Fuyu était arrivée a cette époque et elle commençait a comprendre à peu près la vie. Elle vivait calmement dans la maison du couple âgé qui a eut l'amabilité de l'héberger en prenant des cours pour connaître plus de choses.

Alalah, j'ai eu de la chance pour cette fois. pensa-t-elle.

Il était tôt dans l'après-midi et Fuyu avait déjà mangé. Elle n'avait rien a faire de spécial, ou plutôt, elle ne savait pas quoi faire. Elle jeta un œil à la fenêtre : il faisait beau, ainsi qu'à son réveil : 2 heures de l'après-midi. Tout a coup, une idée lui traversa la tête, pourquoi ne pas aller à la librairie ?? C'était décidé. Elle descendit rapidement les escaliers, enfila ses chaussures et sortit dehors.

- Grand-mère, j'y vais !! cria-t-elle sur le seuil de la porte.

Eh bien, maintenant, direction librairie !! Elle marcha lentement durant une dizaine de minutes avant de s'apercevoir qu'elle avait pris la mauvaise direction, fit demi-tour brusquement et marcha quelques mètres avant de passer devant l'allée qui menait à la pizzeria Katsuo, une pizzeria où elle n'a jamais été manger parce-qu'il parait que pas mal de mafieux trainaient dans le coin. Tout à coup, des voix qui venaient de cette allée l'arrêtèrent.

- Les gens de ton espèce devraient arrêter d’être mafieux, cela gâche d’avantage notre réputation déjà ternie par d’autres imbéciles. Tu ne mérites pas de mourir, mais de souffrir si. Nous allons voir si tu vas faire encore ton malin après ça….

Elle se demandait ce qu'il pouvait bien se passer décida d'aller voir. Elle tourna et fit à peine 2 mètres qu'elle se trouva face a des gens qui se battaient... Il y avait des gens qu'elles ne connaissait pas et un arcobaleno. Surprise, elle recula un peu et réfléchit un instant. Après avoir entendu ce qu'elle avait entendu, c'est qu'il s'était passé quelque-chose et que celui qui se faisait ... planter une lame dans le bras l'avait mérité. Mais un arcobaleno... Des mafieux !!

- Euh... Ouais... Ok... J'aurais pas du aller voir moi... laissa-t-elle échapper en soupirant. Elle ajouta ensuite plus doucement, Merde.

Fuyu ne savait pas trop quoi faire et avait un peu peur. Cela ne servait à rien d'intervenir puisqu'elle n'avait rien à voir dans cette histoire et puis s'enfuir ne renverrait pas une bonne image d'elle. Non, cela attirerait plus l'attention vers elle.

Ils étaient vraiment sympa les gens qui m'avaient accueilli à leur table. Ils étaient gentils de me proposer leur aide, même si je pouvais m'occuper personnellement de tout ce gang. Mais bon... Du moment qu'ils ne touchent pas au chef, je suis d'accord. Ma pizza finit par arriver... Enfin, il y a eu un petit soucis entre temps et je n'ai pu avoir qu'un morceau...

En fait, comme j'étais à la table #14, la serveuse l'a servie à ce groupe de racailles qui m'avaient chassé de mon domaine. Je me levai donc pour aller la récupérer, daignant leur adresser un regard rempli de haine et tentai de choper ma commande. L'un d'eux m'attrapa par la taille alors qu'un autre se contenta d'engloutir les trois quarts de ma bouffe... Nan mais je rêve... Il allait me la finir ! Je donnai un coup de boule arrière à celui qui me tenait prisonnier et un coup de pied dans la mâchoire à celui qui m'avait privé de manger. Je pris donc mon morceau et repartis m'assoir à la table d'à côté.

A peine rassis, celui qui semblait être le boss de la famille qui gérait cette pizzéria se leva et réussi à faire lever ces voyous de leur siège. Ohwi, ohwi, du sang ! Ca allait gicler ! Je me levai d'un bond et suivis tout le groupe. Akira, si je ne me trompais pas, avait très vite choisi son adversaire. Et moi alors ? Je n'avais pas à réfléchir. C'était leur chef qui m'intéressait. Je sortis mes griffes.


Je me ruai donc sur cet odieux personnage et me démerdai pour le faire tomber en arrière. Je lui sautai ensuite dessus et commençai à le déshabiller. Non... Pas de penchants gay. Disons que... Contact direct, ça fait plus mal. Légèrement plus mal. J'enfonçai mes griffes lentement dans le ventre de celui-ci. Je n'avais aucune pitié, ses cris ne m'horrifiaient pas, ni même ses boyaux qui sortais. Je lui faisais sortir les pizzas qu'il avait avalées. Un sourire satisfait aux lèvres, je me permis de lui arracher un bras alors qu'il agonisait. Maitenant, il fallait l'achever. Je rangeai mes griffes et sortis ma boite de stockage. Je l'ouvris donc avec mon anneau Falce de la foudre et un petit récipient en sortit. J'étais décidément sans pitié.


Je profitai du fait qu'il hurlait à en perdre la voix pour lui faire avaler tout le liquide contenu dans le récipient. Adios amigo...

Une jeune fille avait fait son apparition entre temps. J'étais tellement occupé à torturer celui qui avait osé me déranger pendant mon repas que je ne l'avais pas sentie arriver. Ce n'était même pas amusant comme combat d'ailleurs, c'était de la sous-merde. Et dire que ça faisait partie de la mafia, ça...

Enfin la journée finit se dit Matsu, elle pouvait faire enfin ce qu'elle voulait. Oui car la jeune fille avait tenté de reprendre contact avec son frère depusi maintenant quelques temps, autant dire que c'était peine perdu. Elle avancait dans les rues de la ville sans vraiment savoir où elle allait. Tout ce qu'elle voullait retrouver un peu de bonne humeure et de bien finir la soirée. Elle enleva son bonnet et le jetta par terre, dernier souvenir de son frère, puis soupira tout en continuant sa route. Mais la elle se trouvait dans une rue qu'elle connaissait assez bien, si elle ne se trompait pas, enfin c'est ce qu'elle pensait. Elle leva la tête et reconnu la rue entre mille.

_Oh! Peut être qu'il doit être occupé..Si je le dérange je m'en voudrai.

Le rouge prit place sur ses joues et elle continua sa route pleins de questions en tête et se demanda par la même occasion si elle avait bien fait de venir le voir ce soir, peut être devait-il y avoir trop de monde? Il n'aurait pas le temps de la voir. Pourtant elle en avait besoin, sa journée plus que choatique lui avait miné le moral au plus bas. Par reflexe elle croisa les doigts comme pour se rassurer puis se mit à jouer avec une meche de ses cheveux. Une nouvelle habitude se dit elle en soupirant une nouvelle fois. Finalement la brume s'arrêta non lion d'une pizzeria qu'elle connaissait très bien, ferma les yeux et resta planté au milieu de la route comme une idiote sans savoir si oui ou non elle devait entrer. La peur était venu et l'empêchait de faire un seul mouvement même d'ouvrir les yeux. Elle se sentait de trop et ordonnait à ses jambes de faire demi tour au plus vite. Quand elle ouvrit les yeux c'est assez tard qu'elle comprit qu'une bagarre avait lieu devant la pizzeria Katsuo. Prise d'un léger frisson qui lui noua le ventre, elle sortit sa canne et tappa sur le sol. Illusion en place pour le monde elle devait ne pas être vu et marchait à sa guise. Du moins si sa force avait évolué, elle l'esperait. Elle marcha et se mit à courir devant la petite troupe qui était au devant de la boutique. Elle chercha Aki du regard pour se soulager et voir si il n'avait rien. Pour l'instant il n'avait rien ce qui enleva le noeud dans son ventre. Elle recula un peu puis laissa tomber sa canne au sol. Sa présence était maintenant à couvert tout le monde pouvait la voir. Pas de très bonne humeur elle craqua ses doigts et fit apparaître deux papillons noir.

_Je tues qui en premier???

Ce qui voulais dire bonsoir dans son language plus qu'en colère.

Une fois sortit au grand jour je me sentais beaucoup plus libre, le vent soufflait dans mes cheveux et le ciel était bleu et l'air sentait les multiples arômes de l'été.
Un des homme me regardait méchamment et avait sortie une dague, une arme de base, même pas de flamme de la dernière volonté.

-Hum crois tu que tu pourra me battre comme sa ?

Ma bague une fois enflammé je l'introduis dans une de mes boites, un sabre en sortit, sabre qui se retrouva bien sur dans ma main, l'homme me regardait avec stupeur ... il ne devait rien savoir des boite ou des flammes ... bougeant à grande vitesse j'esquivais le coup de dague qu'il essayait vainement de me donner et lui enfonçais le pommeau de la lame dans le ventre, l'homme s’effondra tout de suite a terre.

-Je ne te tuerais pas, mais fait bien attention à ne plus faire pervertir la mafia ...

Je regardais les autres, l'arcobaleno avait tuer le chef, je n'étais pas d'accord avec sa, mais je ne pouvait rien dire, il n'était pas de ma famille ...

_Je tues qui en premier???

Une jeune fille avec deux gros papillons noir se tenait devant nous visiblement en colère. Je ne l'avais pas vu depuis un bon moment et mon coeur bondit dans ma poitrine quand je l'aperçut, je me dirigea vers elle et posa une main sur l'épaule de cette magnifique jeune femme tout en lui offrant mon plus beau sourire.

-Calme toi ma princesse, tu n'aura à tuer personne ici, seulement quelque fauteur de trouble dans la pizzeria.

Je la tenais maintenant dans mes bras oubliant tout, même les quelque combat qui se déroulait encore autour de nous, Matsu semblait avoir eu elle aussi une dure semaine et je m'en voulait d'être toujours occupé en ce moment.

La bataille qui s’était passé était horriblement ennuyeuse, pas de danger, même pas besoin d’ouvrir une boîte, mais ce n’est pas une raison pour faire le tendre ! Je sortis 2 de mes tazers, facile à manier, et léger comme une plume ! Je m’amusais comme un fous à les torturer par l’électricité, enfin, c’est ce que j’avais l’air ! Depuis un certain temps, on m’appelle « Evil Red Demon », peut être parce que je suis sans pitié ? Ce n’est pas vrai, je laisse toujours mon côté le plus froid aux monstres de leurs espèces…
En tout cas, j’ai battus mes ennemis choisis, mais Akira m’a épaté, lui aussi il utilise la foudre ? Raison de plus pour que l’on s’entend bien… à mon goût…
Mon boss est toujours aussi incroyable, rien à dire de plus, quand à l’arcobaleno, lui il a tué le chef… Je n’ai pas vraiment voulu cela mais en quelque sorte c’est la meilleure chose à faire, comme ça les sbires ne recommenceront plus jamais à faire honte à la mafia.
Et bien que dire de plus… Ah oui ! Un civil a vus le combat, dommage, on ne pouvait quand même pas lui montrer cela ! Mais ce n’était pas une question où on peut y revenir…
Une certaine Matsu Aiza arrive vers nous, je ne l’ai encore jamais vus, mais apparemment elle connaissait très bien Aki, on pouvait même avoir l’impression que c’était sa petite amie…
Pendant qu’Aki réconfortait Matsu, j’emmena les méchants mafieux à l’hôpital, même si ils sont des êtres perfides, ce n’est pas une raison de ne pas les soigner…
Kaito, le petit arcobaleo m’accompagna, il s’amusait à assommer les mafieux lorsqu’ils se réveillaient, tant qu’ils vont à l’hôpital, je m’enfiche un peu…

Des pas, un semblant de voix...Celle d'une femme semblait-il...Les cris de sa victime les étouffaient. De toute façon, il s'en fichait, un simple coup d'œil vers cette personne lui fit comprendre que ce n'était qu'une simple civile. Il n'allait rien lui faire, bien entendu, mais elle ne pouvait certainement pas rester ici, elle risquait d'être blessée...
Il observa attentivement les alentours avant de se retourner vers ledit mafieux, qui gémissait et pleurait de douleur. Quel idiot, quel faible. Ce n'était pas marrant de le torturer...C'en était même d'un ennui...D'un ennui à en mourir. Akira se releva, ne prêtant pas attention aux paroles que prononça l'arcobaleno, qui semblait s'amuser d'après le faible coup d’œil qu'il avait jeté. L’excitation qu'il avait ressentit peu de temps avant s'était volatilisée, envolée, avait disparu.
Le jeune homme enleva sa lame de l'épaule de son adversaire avant de lui replanter dans le deuxième bras, avec un regard des plus glacials qu'il ait pu jeter jusqu'à maintenant à ses ennemis. Enfin bref, il avait aussi l'air blasé, mais vraiment quoi. Comment pouvait-il s'amuser avec un faible comme celui qui lui servait d'adversaire ? Blasant.
Au bout d'un moment, un épais brouillard fit son apparition : Akira comprit tout de suite ce que c'était. Si l'inconnu voulait passer inaperçu, c'était raté, même s'il cachait sa présence derrière cette brume...Franchement, à quoi bon se cacher si c'est pour se révéler suite à une illusion ? n'importe quoi, vraiment. Mais la seule chose qu'Akira sentit, c'était une onde -non pas négative comme on aurait pu le croire, mais énervée, positive étrangement. ce qui fit froncer les sourcils du jeune homme blond. Une fois que le brouillard s'en fut allé, une nouvelle...Femme apparut, avec un regard menaçant dans le regard. Elle prononça quelques mots, mais de nouveau Akira n'écouta pas. Il enleva encore une fois sa lame de la chair de son ennemi mais le rengaina au lieu de ré-attaquer. Il s'en alla par la suite s'adosser contre le mur le plus proche de lui en regardant sa proie qui gisait sur le sol, encore tordue de douleur. Il se laissa tomber sur le sol et bâilla un bon coup, non sans laisser passer un long grognement au passage. Aki s'était approché de l'inconnue, nommée Matsu semblait-il. Il les observa, mais son regard s'attarda plus longtemps sur les corps des mafieux qui avaient cherché la provocation peu de temps avant dans la pizzeria.

Et il ponctua sa phrase d'un sourire amical.

"Les ennemis", si Fuyu pouvait se permettre de l'appeler comme ça, semblait souffrir énormément. On en prendrait presque pitié. D'ailleurs, le combat avait l'air de s'être arrêté. Et puis, une femme avait apparu... Illusion ? On ne l'avait pas vraiment vu arriver mais elle le sentait. Ce n'était pas une certitude, juste une impression. La femme qui avait de longs cheveux noir avait ensuite ajouté une phrase qui avait glacé la civile jusqu'au sang :

- Je tues qui en premier???

L'idée qu'on allait la tuer, elle, la pauvre fille sur place avait traversé son esprit un instant. Mais non, cela ne s'était pas passé. Et puis, pour quelle raison allaient-ils la tuer ? Aucune. De toute façon, ils n'avaient pas vraiment l'air de l'avoir remarquée. Une chance de s'enfuir discrètement ? Oui, mais Fuyu ne le fit pas. Une part d'elle-même lui conseillait de partir mais une autre lui donnait une énorme envie de rester pour voir ce qu'il allait se passer. Et puis, ces mafieux de voulaient que défendre leur pizzeria. Mais même, leurs victimes allaient peut-être mourir ! Ils gémissaient gisant par terre, se tordant de douleur. Tout ça d'un coup lui faisait peur. Une vague d'angoisse l'envahit. Elle se sentait mal. Pas tant que ça mais un peu.
L'un d'entre eux, un grand blond aux yeux verts, s'appuya contre un mur avant de bailler et dire... Amicalement ? :

- C'est d'un ennui, tout de même. Vous ne trouvez pas ?
- Hué ? c'était son signe d'étonnement.

Comment pouvait-on s'ennuyer ? Voir tout ce sang gicler, c'est... Elle ne comprenait pas comment s'ennuyer devant tout ça. Était-ce une sensation d'excitation qu'elle ressentait là ? Ce n'était pas possible.

- Pourquoi... Qu'est-ce que... Peut-être...

Même si on ne lui avait pas adressé la parole, une réponse sortit de sa bouche. C'est vrai, elle avait l'impression de prendre un malin plaisir à regarder ces mafieux se faire battre. Un sourire se dessina sur son visage. La haine des mafieux. Se venger d'eux. Une idée à en devenir folle. Après tout, si ils se tuent entre eux, le travail est fait.