# Prénom : Amai
# Nom : Sobyou
# Âge : Vingt-ans
# Groupe : Civil
# Sexe : Masculin
# Orientation Sexuelle : Les nanas -avec des gros seins.
# Taille : 1m82
# Poids : 75 kg
# Groupe sanguin : B
# Rang : -

# Physique :

Si l’on retenait séparément chacun des éléments du visage d’Amai, alors on dépeindrait un portrait sans grand intérêt. Un visage crème assombri par deux yeux gris foncés, des cheveux bruns ternes et une allure relevant d’un je-m-en-foutisme généralisé, Amai n’a pas vraiment le physique d’un chanteur de Boys Band. Et pourtant, son teint pâle parcouru d’un flegme inépuisable peut devenir séduisant lorsque ses lèvres pâles et fines laissent s’échapper un sourire. « C’est pour pas faire peur aux gosses. Si Je bouge pas, ils hurlent que Je suis mort. […] ».

Avec son beau mètre quatre-vingt, Ama, il faut le dire, a l'apparence d'un taulard. Et pourtant, Amai n'est pas du tout du genre à se faire respecter par les poings. De toute façon, il n’aime pas « avoir mal. » : jamais il ne lui viendrait à l’idée de tomber sur quelqu’un sans être totalement sûr qu’il n’y ait aucun risque. Mais ceci est une toute autre histoire. Avec son apparence de déménageur russe, Amai est, étrangement, celui qui se briserait si on lui tombait dessus. Enfin, encore faudrait-il déjà pouvoir l’attraper. « Je sais quand y' faut fuir. » Au moins, il sait se servir de ses jambes.

Si l’on s’attarde sur les détails de son visage, on peut quand même apprécier ses yeux vifs qui ne font qu’accentuer la blancheur de son teint. Ou même encore ses mains plutôt bien foutues. Ou encore, si l’on descend encore un peu plus, ses petites fesses rebondies. « 100% naturel, Chérie. » [Source : Amai à un jeune homme au détour d’une ruelle après une soirée un peu trop arrosée. « Il faut dire qu’il ressemblait foutrement à une nana. »].

# Caractère :

Looser par nature, rêveur par dépit, Amai est lunatique et ne perdra pas une occasion d’hurler… Si son adversaire est plus faible que lui. Mais si au cours d’un affrontement il existe ne serait-ce qu’une chance pour que son charmant visage soit abimé, il trouvera toujours des excuses pour ne pas prendre part à la bagarre « Je suis quelqu’un de pacifique », vous assurait-il. Amai est lâche, naïf, couard, a une VDM, mais ça, il préféra ne jamais l’avouer.

Médiocre dans tout ce qu’il fait, Amai semble néanmoins détenir un certain don pour produire le moche. « On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a », vous dirait-il. Un stylo en main, un morceau de papier contre la jambe, il peut vous dessiner n’importe quoi. Oui mais comment ? S’il est moins médiocre avec calepin qu’avec n’importe quelle autre Chose, disons que, comme tout ce qu’il entreprend, ses dessins s’inscrivent indubitablement dans la lignée du moche. A croire qu’il a fait de la laideur son cul-te. Si on se permettait de jeter un coup d’œil au-dessus de son épaule, on verrait des personnages mal foutus et des traits de crayon embrouiller les seules formes à peu près réalistes. « Je suis un incompris. »

Trouvant toujours quelque chose à dire, on aurait pu espérer que le seul moment où il laisserait son voisinage en paix serait lorsqu’il dessine. Et bien perdu. Souffrant d’une maladie peu commune mais pas moins dangereuse, j’ai nommé la Aldoqui us Molinus * : Amai est un incontinent verbal. Passant de la drague à la tempête, Amai est un gars sérieusement dérangé qui semble croire dur comme fer que Dieu, c’est Lui. A chacun sa merde.

* La maladie du moulin à paroles.

# Histoire :

« Bordel. Pour certain, la vie est une scène. La Mienne de vie, c'est tout simplement un pur et immense bordel. Et J'aime tellement ça que Je rajoute un petit peu de ma merde dans la vie des autres. Je me dois d'être juste : Je suis Dieu. » [Source : informations personnelles, Facebook]



___Enfance (0 – 11 ans).

Dès son plus jeune âge, Amai avait déjà compris que sa vie serait exceptionnelle. A quatre mois, il avait réussi à prononcer son premier mot : bordel. A deux ans, il parvenait à se mettre à genoux et mettre ses doigts dans son nez. A cinq ans, il parvenait à réciter l’alphabet latin à l’envers. L’endroit de l’alphabet, par contre, ne semblait pas trop l’intéressé. De telles prouesses, vous l’aurez compris, a vite mis la puce à l’oreille de ses parents : un génie était né.

S’il était relativement mignon jusqu’à ses neuf ans, à l’approche de l’âge con, tout se gâta : « J’adorais jouer aux billes. Mais mon connard de frère disait que jouer avec des boules, c’était que les tarlouzes qui le faisaient. A neuf ans, j’avais déjà compris qu’il était totalement con. Rien à récupérer. ». Enfant du milieu, entre un frère qu’il ne supporte pas et une petite soeur « qui les lui casse royalement », Amai avait l’impression d’être le vilain canard qui passe après tout le monde et que personne n’entend. A côté de la plaque et trop égoïste pour remarquer qu’il était en fait celui sur lequel reposaient tous les espoirs de la famille, le jeune Amai s’était juré à la veille de son onzième anniversaire, qu’au milieu de ce bordel, il y resterait jusqu’à tous les faire crever d’énervement.



___ Adolescence (12 – 18 ans).

« T’sais, J’ai l’impression d’être né dans une famille ‘test’. On a foutu cinq personnes dans un flacon, on l’a remué et maintenant on les regarde s’entretuer. Pis au milieu de tout ce bordel, Je suis là pour relever un peu le niveau. »

Afin de s’échapper plus facilement de l’ambiance de merde qui régnait quotidiennement dans la maison de Sobyou, Amai passa son adolescence entre la bibliothèque du collège et les salles de musique : « J’aimais pas lire mais au moins, ça m’évitait de devoir supporter l’autre connard. Pis l’harmonica, c’était juste pour draguer les gonzesses. Les artistes, ça plait toujours. » .

Puis, à ses seize ans, le neveu de son père leur rendit visite et bouleversa la vie du jeune homme. Plutôt que de continuer à s’exiler entre les bouquins, le jeune homme apprit à fréquenter des endroits bien plus conviviaux : les bars : « Hiro, c’est le seul type de ma famille que je peux blairer. Il m’a tout appris. ». Et, jusqu’à l’obtention du diplôme du lycée, les deux jeunes hommes passaient leurs soirées au bar et leurs journées au lit en proie à des questionnements existentiels : « T’es qui toi, déjà ? » [Source : Amai, au réveil, à une jolie jeune fille blonde dans son lit]. « Ce gars, c’est mon héros : il m’a appris à boire, à fumer et à (dé)coucher. […] »



___ Pseudo-maturité (18-20 ans)

Son diplôme du lycée et son permis en poche, ce ne fut pas long qu’Amai abandonna ses parents. Le 10 février, lorsque l’université de Tokyo lui annonça qu’il était accepté en licence de philosophie, il claqua la porte de la cuisine au nez de son frère et s’enfuît sans un mot vers la capitale. N’ayant pas les moyens de posséder son propre appartement, le jeune homme s’installa en collocation avec trois personnes. L’un était français en échange et se nommait Maxime, l’autre, également français, se prénommait Edouard et la troisième, d’origine espagnole, s’appelait Lucia : « Je vis entre une nympho, un vrai couillon, Max, et un gars qui partage avec moi son paquet de BN. La coloc’ de rêve. ». Pendant l’année scolaire, Edouard et Amai tissèrent des liens d’amitié très étroits mais, il faut le dire, assez ambiguë :

Amai : Mon p'tit BN fourré de chocolat , pourrais-tu avoir l'immense amabilité de retirer tes sales poils de la douche ?
Edouard : Tu renies mes reliques ?
Amai : Pour l'instant , je renie simplement ta connerie.
Mon vers solidaire ♥
Edouard : Mon fruit crémeux
Amai : Mon amoureux secret ♥♥♥
Edouard : Mon Max' intelligent
-tu multiplies les cœurs, mon adoré?-
Amai : Mon Edipounet sexy ♥♥♥♥♥♥
-oui je crois que je tombe amoureux-
Edouard : Mon puissant Amai !
Amai : Mon Panda civilisé ♥♥♥♥
Edouard : Ma verrue écarlate
[…]
[Source : conversation Facebook du 30 janvier]

Malgré ce déversement de conneries constant et sans limite, Amai passa sa première année avec succès. Néanmoins, ses parents coupèrent les vivres devant son absence de nouvelles ce qui obligea le jeune homme à retourner à Namimori. Il quitta avec beaucoup de regrets son 'Doudou' et reprit son ancienne promesse, celle de tous les emmerder jusqu’à la fin : « S'ils me supplient de partir, je leur fais bouffer leurs chaussettes. Ces connards m'ont fait revenir, je ne partirai pas tant que leurs putains de cadavres soient à mes pieds. Bordel, je vais les fumer ! ».

Techniques et Boîtes

# Arme : -
# Anneaux : -
# Boîtes-armes : -
# Boîtes animalières : -
# Boîtes de stockage : -
# Techniques particulières : Quelques techniques de drague seulement. Ne comptez pas sur moi pour vous les révéler, Je garde mes atouts dans mes poches (et autre part, si vous voulez l'entière vérité).

.:: Vous ::.

# Prénom : Mamie Nova.
# Age : Dix-neuf ans.
# Comment trouvez-vous le forum ? J'aime bien l'apparente sympathie des membres, les couleurs et toussa.
# Ce que vous aimez : Les z'haricots verts de ma maman, mon pays d'adoption, dormir, vivre des mangas, glander.
# Comment avez-vous connu le forum ? En faisant une recherche de forums sur KH Reborn! .

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Sorry pour se retard ;w;
Pour moi c'est okay aussi, bienvenue parmi nous !