La chaleur .... Oh Hélios dieu du soleil ! Pourquoi nous darde tu de tes rayons mortel surchauffant les corps et nous empêchant de trouver ne serait-ce qu'une position correcte pour faire une petite sieste. Il devait être 3h de l'après-midi, mais j'avais la flemme de regarder l'heure. Le soleil est le pire ennemi du mafieux.
J'avais beau avoir ouvert toute les porte de la véranda depuis que la climatisation avec sauté.

La technologie vous lâche toujours quand il ne faut pas. Enfin sa n'arrive surtout qu'a moi ce genre de chose. Vous avez déjà essayer de dormir quand vous avez l'impression que quelqu'un vous étouffe, vous écrasant de tout son poids ? Et bien c'est extrêmement difficile. Il ne me restait donc que deux solution : Faire une incantation au dieu du soleil pour le calmer ou bien aller à la plage ! .... Je vais choisir la deuxième solution, sinon ce rp n'avancera jamais.

Me voila donc lever préparant mes affaires pour la plage. Un maillot de bain, une serviette, de la crème solaire, et un livre histoire de s'occuper une fois la bas. Direction la mer ! Ah ce doux vent, quoi de mieux que la brise marine et l'air saturé en iode ? La réponse est simple, tout cela plus une petite glace ! Je marchais sur le sable chaud, fin et blanc en direction du camion de glace. Blanc avec une pancarte en forme de glace géante sur le dessus. Pas banal hein ?! Et justement sa attire les foules ! Devant ce même camion une horde de hyène ... que dit-je, de drogué en manque c'était agglutiné espérant avoir une glace. Je me hâtais poussant par la et par si pour me frayer un chemin dans la foule. Enfin, j'étais arriver, passant devant une jeune fille que je n'avais pas vu.

-Une glace à la vanille s'il vous plait !

Le glacier me donna la glace en me précisant bien que c'était la dernière restante. Tant pis pour les autres, a la guerre comme a la guerre ! Je réussi a m'échappa de la foule sans qu'elle ne subisse aucun dégâts, mais pourtant quelque chose clochait, je me sentais observé.

Tu te retiens. Tu regardes ce spectacle horrible qui se déroulait devant les yeux. Pour qui diable se prenait-il. Pauvre être insignifiant qui osait te passer devant le nez. Il allait le regretter. Tu allais le pourrir. Tu l’étriperais si il n'y avait pas autant de gens autour de toi. Vraiment, ce gars était tombé au mauvais moment avec les mauvaises raisons. Mais tu resterais calme. Tu en étais digne.

Tu le regarde sans rien dire, lui et sa glace. Tu attends. Le vendeur t'interpelle plusieurs fois. Tu n'en as rien à faire. Mais tu réponds quand même. Tu prends une glace trois boules. Pistaches. Fraises. Abricots. Trois parfums totalement désagréables mélangés. Tu le sais. C'est le but.

Tu la prends, tu pais rapidement et tu prends tout ton temps pour marcher. Tu dois rester à une bonne distance. Le temps qu'elle fonde. Tu patiente cinq minutes. Puis dix. Elle commence à couler, plus aucune utilité. Pourtant, tu en as une pour elle. Une si belle.

Tu t'approches de ce gars, tu l'attrapes par l'épaule pour le freiner, puis tu lui passes devant, tu te fous bien au milieu. Ton regard, tu le plantes dans le sien.

« Alors … »

Tu laisses apparaitre un sourire hypocrite sur ton visage. Puis tu fais semblant d'approcher la glace de ta bouche avant de tendre violemment ton bras pour lui mettre la nourriture en pleine face. Tu fais exprès de casser le cône en plus, des morceaux de biscuits dans les yeux, s'est tellement marrant.

« … T'aimes ça la glace à la pistache, fraise et abricot ? C'est meilleurs que la Vanille, n'est-il pas ? Sal con va, même pas capable d'attendre son tour. Ta gueule me donne envie de gerber tellement tu fais pitié. »