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 [PV Mizo] - Tu ne peux voir qu'une chose. La beauté de Florence.

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Xanxus.
Cielo
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MessageSujet: [PV Mizo] - Tu ne peux voir qu'une chose. La beauté de Florence.   [PV Mizo]  - Tu ne peux voir qu'une chose. La beauté de Florence. EmptyMer 3 Aoû - 21:37


    Tu avais enfilé ton plus beau costume, ta plus belle montre Rolex, tes plus belles chaussures. C'est qu'on ne voit pas tous les jours une bonne compagnie Japonaise et Allemande, qui plus es en Italie dans la plus belle ville de Florence. Tu avais pris ta place bien avance, te plaçant dans une loge individuelle, et ceci la plus coûteuse ! En effet, tu pouvait être ainsi admiré des braves gens, comme des plus riches, sur les différents côtés de la salle. Tu portais ce soir-là un costume assez classe mais d'une sobriété suffisant. Une chemise. Blanche bien sûr. Cette couleur était-celle qui t'allait le mieux au teint. Une cravate bien nouée et bien serrée accompagné sur ses épaules d'une veste simple. Tes cheveux. Le plus important. Tu les avaient lissés, du moins ils étaient plaqués. Fini les cheveux en pétard, ce soir tu les laisses reposés. Une mèche maladroite cachée une partie de ton front. Tu avais laissés tes plumes sur le devant de ton épaule gauche. Tu avais exposé un parfum de marque sur ton cou. Un parfum subtile, délicat. Juste un parfum hors de prix accommoder le tout.

    Tu t'es rendu à l'Opéra en voiture, à pied était impensable. Lorsque tu arrivas enfin à la salle de l'Opéra, il prit place. Certains murmuraient. D'autres te suivaient du regard. Les femmes te faisaient des compliments au loin. Et tu ne cillais pas. Tu était venu ce soir pour t’amuser, et si une femme vient à engager la discussion, cela ne te dérangerait pas plus que ça. S’évader un peu de cette bulle que tu avais crée avec Squalo, et profiter des nombreuses choses qu’offraient les joies de l’argent facile et de la carte bancaire illimité. Tu entres dans la salle, tu ne regardes personne, fixe juste ces rideaux fermés. Tu sentais la brûlure des regards qui te pesaient, mais autant ressembler à un pur aristocrate jusqu’au bout. Taisez-vous. Cela commence.

    Les notes s’envolaient de la bouche des chanteurs, les syllabes s’élançaient vers les cieux avec une grâce infinie, et la musique était tout simplement divine. Tout les regards étaient rivés sur ces acteurs / chanteurs parfaitement rodés, et je dois avouer que j’ai d’ailleurs une préférence pour la Reine de la Nuit. Et tandis que tous fixaient les acteurs, toi, pour la première fois jeta un coup d’œil sur les gens de l’assemblée. Des jeunes, des vieux, des femmes, mais peu d’enfants. C’est vrai qu’en matière d’Opéra, les plus jeunes enfants ne comprendraient pas grand-chose. Tu regardas quelque de ces mesdames. Alors, peut-être tu iras offrir un verre à une de ces dames en fin de soirée ? Non, décidément, que des vieilles. Tu descends ton regard plus bas, chez les moins fortunés. Mais là nous passions dans les basses catégories, alors ce n’était même pas la peine d’y songer. Tu soupires, en rapportant ton regard à la fin de l'histoire. Un employé te proposa du champagne, tu le remercie d'une voix froide et neutre à la fois, et celui-ci s’éclipsa avec un léger trouble devant les yeux. Tu sirotas ton verre, puis le reposa sur une table posé près de toi. L'Opéra aurait durer plus d'une heure et demie. En te levant, tu essayais de te souvenir le nombre exact d'argent que tu possèdes sur toi. Peut-être trois à cinq milles euros. Assez pour se payer une chambre luxueuse dans le meilleure hôtel de Florence. Deux nuits, voir trois. Tu passa la porte pour descendre les escaliers, immédiatement, un employé te demanda si tu souhaitais une voiture. Tu lui fit un signe qu'il lui indiqua qu’il était déjà arrivé. Tu passas rapidement devant les gens qui sortaient eux aussi, Tu n’avais pas le temps de flâner. On t'ouvrit la porte de la plus que luxueuse voiture. Une BMW noire et parfaitement lustré. Tu l’avais déjà payé à l’allée, cela n’était donc pas un problème pour régler la chambre d’hôtel.

    Quelque chose attira ton attention ; une femme. Elle émane une grâce et un élégance que seuls les reines de l’ancien temps pouvaient se vanter d’avoir. Tu fus comme happer par cette vision miraculeuse. Tu te prenais à rechercher malgré la distance le moindre détail de sa peau fantomatique, de sa longue chevelure blonde. Elle étincelait. Dire qu’elle était belle aurait l’insulter tant ce qu’elle dégageait dépasser ce futile mot. Je ne parle que de son visage... Mais ses vêtements... sont d'une simplicité. Tu sembles la connaître. Une Midnight, une famille mafieuse qui à pour membres que des filles. Tu fis un sourire, rare de croiser la parraine dans un lieu chic comme celui-ci. Tu montes dans la voiture. Tu dis au chauffeur de mettre la voiture au côté de la dame blonde. Il démarra et quelques secondes, il ralentir pour s'arrêter. La vitre noire se baisse. Tu la regardes froidement, un petit rictus se dessine sur ton visage glacial, amusé de la situation. Chaudement dans la voiture pendant que la demoiselle était sous la pluie.

    « Ma chère. Excusez ma présence. Je ne pouvais me détacher du spectacle qu’est votre beauté, aussi ma curiosité me demande qu'est-ce-que vous faites dans un lieu chic, qu'est l'Opéra ? »

    Quel langage. Fleuri. Peut-être. Mais n’est-ce pas l’endroit idéal pour donner un peu d’élégance à notre langue et rendre un peu de noblesse aux vieilles habitudes de gentleman ? Tu devrais peut être arrêter de lire de ces histoires de gentleman hors la loi. Mais ils sont raffinés. Ton souris ne fit que s'allonger. La pluie bat son plein, et prit comme compassion, tu lui fait signe de monter.

    « Il serait dommage d'abîmer votre robe. » Dit-il ironiquement « Montez, je vous déposes.»
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Mizora M.NightMoon

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MessageSujet: Re: [PV Mizo] - Tu ne peux voir qu'une chose. La beauté de Florence.   [PV Mizo]  - Tu ne peux voir qu'une chose. La beauté de Florence. EmptyJeu 4 Aoû - 17:51



"Two Steps From Hell"
I am not human ?


    Tu ne savais pas quoi faire. Tu ne savais jamais quoi faire. Mais c'était normal, tu détestais ce pays. Tu n'aimais pas être ici. En Italie. Alors que faisais-tu là ? Tu ne savais que faire de ton temps. Tu venais à peine d'arriver. Tu voulais déjà repartir. Tu détestais ce pays. Tu l'avais toujours détesté. Tu ne venais là-bas qu'une fois par ans. Et pourtant, lors de tes rares venues, tu ne faisais que te plaindre. Tu restais devant la télé. C'était tout ce que tu savais faire. Tes bras droits essayait de te faire bouger. Mais en aucun tu ne le fis. Chacune des deux te prirent le bras pour te lever de ton siège. En aucun cas tu ne bougea. Tu regardais cette boîte à image avec un regard vide. Elles ne prirent pas le temps de continuer. Tu savais très bien que quoi qu'elle fasse, tu ne bougerais pas. Alors tu étais là, à attendre que les secondes files le long de l'aiguille.

    Une heure. C'était le temps que tu étais resté assise devant ton écran. Tu avais tout vu. Les infos, des séries, des jeux, des dessins-animés, et même la météo. Ils avaient prévenus qu'il allait pleuvoir. Bien sur, toi, tu t'en fichais un peu. Tu aimais tout ce qui était froid et humide. Tu détestais tout ce que tu trouvais trop chaleureux. Mais pouvez t-on t'en vouloir ? Tu avais toujours étais comme ça, alors pourquoi changer.

    Alors tu te leva à contre cœur. Tu n'avais toujours pas d'expression sur ton visage. Tu ne pris même pas le temps de prendre un manteau ni même quelque chose pour te couvrir. Tu étais là, dans ta pauvre robe noir qu'on t'avait presque forcer mettre. c'était pour le style t'avait-elles dit. Selon elles, une chef de famille ne devait pas se promener dans des tenues de tout les jours. Alors pour faire plaisir à tes deux jumelles favorites, tu avais accepté de la porter. Et ceci, même si tu la détestais.

    Tu étais sortit de ton manoir. A pied. Tu n'aimais pas les voitures, tu trouvais ça trop lent. Alors tu marchais. Et ceci, pour ne pas changer. Tu ne prenais même pas le temps d'observer le paysage. Tu le haïssais. Tu détestais ce pays. Tu détestais ses habitants. Tu détestais tout ce qui avait un lien avec cette Italie. Et tu n'avais pourtant aucune raison de le haire ainsi. Et tu le faisais pourtant. Que tu étais dur avec ce pays.

    Du bruit. Tu l'avais entendu n'est-ce pas ? Tu étais proche de l'Opéra. Et pourtant, tu ne t'attardas. Tu n'étais pas quelqu'un qui aimait ce genre d'endroit. Tu préférais écouter tes musiques chez toi. D'ailleurs, il fallait que tu pense à aller acheter le nouveau CD de Two Steps From Hell. Mais tu devais t'en souvenir vu que tu n'écoutais que ça.

    Alors tu continuais d'avancer. C'était comme ça. De toute façon, tu n'étais pas venu ici pour voir des Bourges, mais juste pour prendre l'air.... Et te mouillé. Car oui, la pluie c'était mise à tomber. Faire demi-tour ? Très peu pour toi, tu allais continuer ta route, mais une BMW noir s'arrêta près de toi. Que pouvait-il t'arriver de pire que de te faire aborder dans la rue ?

    La fenêtre ce baissa. Tu fais étonné, mais tu ne fis rien paraitre. Après tout, tu ne pouvais que savoir qui était cet homme. Observer état ton métier, et tu n'avais pas put louper les varia.. Ni leur chef.

    « Ma chère. Excusez ma présence. Je ne pouvais me détacher du spectacle qu’est votre beauté, aussi ma curiosité me demande qu'est-ce-que vous faites dans un lieu chic, qu'est l'Opéra ? »

    Répondre ? Non. Tu n'avais qu'à ressortir une vieille excuse telle que Je n'ai pas droit de parler aux étrangers. ou autre. Mais ça aurait était débile pour une fille comme toi, n'est-ce pas ? Alors tu ne répondis pas, en espérant qu'il parte.

    « Il serait dommage d'abîmer votre robe. » T'avait-il dit ironiquement. « Montez, je vous déposes.»

    Répondre ? Surement pas pour toi. Mais d'un autre côté, ça aurait était fort pratique pour toi de voir de près comment été le chef des Varia. Et pourtant, têtu comme une mule, tu n'en fis rien.

    « Excusez moi, mais je ne veux en aucun as vous dérangé. Qui plus est, je ne suis en aucun cas dérangé par cette pluie. »

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MessageSujet: Re: [PV Mizo] - Tu ne peux voir qu'une chose. La beauté de Florence.   [PV Mizo]  - Tu ne peux voir qu'une chose. La beauté de Florence. EmptyVen 5 Aoû - 18:28

    Sa voix. Sa voix. C’était un éclat sonore resplendissant. Tu n’en fus pas étonné. Une telle beauté ne pouvait avoir qu’une voix à son image, pleine de droiture et d’une délicatesse aristocrate, ce léger ton reservé aux dâmes qui savent parler avec élégance. Du moins si elle avait une délicatesse aristocrate. Elle se foutait ouvertement de ta gueule. Bizarrement, ses paroles te tirèrent un sourire, appelons plutôt cela un tressaillement de lèvre. Oui. Sourire aurait été impoli et parfaitement déplacé. Tu la regardes. Elle te regarde. Tu connais ce regard. Depuis longtemps les personnes que tu rencontre plantent leur regard dans le tien subjugué par la couleur qu’offrait tes yeux. Oui. On rencontre rarement des personnes portant les yeux vermillons. Encore moins lorsque les deux pupilles est d’un rouge écarlate. Qu’y puis-je ? Peut-être mon père me les a offert avant de prendre la fuite, qui-c'est ?

    « Soit. Ce n'est pas tous les jours que j'ai la chance de parler tête à tête à la parraine des Midnight sans les gardiennes autours. »

    Tu sors de la voiture en prenant au passage un parapluie pour ce genre de situation. Maintenant, ces chauffeurs de voiture devint plus prévoyant. Seul Dieu sait combien tu as horreur d'être trempé. Tu ouvres le parapluie en la partageant avec la demoiselle. Ah oui, elle aime la pluie. En tant normal, tu ne l'aurais pas partager mais l'Opéra ta rendu un peu fleur bleu et puis cette soirée était un peu magique ne vaut mieux pas la gâcher par ton manque de tact et de délicatesse. Oui. Franchement. Tout est en ce moment parfait. La nuit totale. La pluie. Les lumières des quartiers chics de Florence. Tu jettes un coup d'oeil à ta montre. Vingt trois heure et quart. Parfait. Le salon de thé ferme ses portes à deux heures du matin.

    « Allons discuter de vote venue exceptionnelle en Italie autour d'un café. »

    Qu'elle dit non ou pas, elle devait te suivre. Tu avances donc, tu jetais un regard furtive pour voir si elle te suit. Encore parfait. Le silence pèse sur la rue Trivoli. Seuls quelques voitures et des gens qui passent pour atténuer le silence profond. Tu reprends ton chemin jusqu'au moment tu te retournes. STOUPEFACTION (*meurt*). Elle était assis, en se tenant sa cheville gauche. Quelle gourde ! Tu vas encore à sa rencontre en t'accroupissant. Oui mettre un genou sur cette flotte aurait abîmer ton pantalon. Tu ricanes. Tu parles d'une parraine ! Heureusement que la beauté de son visage rattrape le tout. Tu lâches ton parapluie et puis zut ! Cette soirée avait bien commencé, oui, franchement.

    « Accroche-toi. »

    Quoi ? Tu fais quoi là ? Je la porte sur mon dos. Mais... Oui je sais, ça choque ! Je suis en gentleman ce soir autant le faire jusqu'au bout. Tu reprends donc le chemin, mais dans le sens inverse. Avec une déesse sur le dos. Humiliation ? Non, elle était simplement légère, tu n'as pas à te courber le dos pour la tenir correctement. Si elle se débat, tu lui lances ton regard noir habituel, elle n'a pas à son mot à dire. Il fut simplement quelques minutes pour arriver au Grand Hôtel. Un luxueux établissement ou plusieurs personnalités avait séjourné. Vous passez donc dans le hall, et tu demandas une de leurs suite. On t'indiqua qu’il leur en restait en effet une. Tu payas cash -après avoir posée la demoiselle-, et visiblement les tarifs avaient baissés car tu pouvais rester eu moins quatre jours dedans avec ce que tu leur avait donnés. On te demanda si tu avais des bagages, tu répondis que non. Tu leur demande aussi de ne pas être déranger. Il acquiesça sans rien dire. Car ils avaient visiblement compris une partie de la situation. Tu reporte cette fois-ci la jeune femme comme une jeune mariée et tu te détachas enfin du comptoir de réception.

    Tu téléphoneras à Squalo en arrivant dans la chambre. Car si tu devais t’absenter trois jours, si ce n’est plus, tu devras le prévenir. Un des réceptionniste te donnas la clé de la chambre 403. Elle se trouvait au dernier étage, c'est-à-dire au huitième. Tu pris l’ascenseur, tu ne dis toujours rien. Elle doit se sentir gêner par tout ce luxe sûrement ou par autre chose. Tu ne fis donc pas attention et tu ne la regardes pas, comme ci cette situation était des plus normaux. La porte métallique s’ouvrit. Tu t'enfonces dans un couloir au sol couvert de moquette et le plafond peint avec élégance. Vous êtes donc dans le couloir des suites, et le fait qu’il soit plus décoré que les autres était normal. D’un point de vue purement bancaire. Tu arrivas enfin devant la porte, celle-ci était en bois massif, et personne ne pourrait la défoncer. Du moins si les hommes baraqués n'était ps des mafieux. Tu lâches doucement la "princesse" en la tenant fermement dans un bras, et tourna la clé dans la serrure. Que tu refermas aussitôt. Tu posas la clé sur la table de nuit, et accrocha ta veste en soie noire sur la chaise, devant un bureau de travail. Tu poses délicatement la blonde sur ton lit avant de visiter la salle de bain, tous les robinets, que ce soit de douche où de lavabo était plaqué d’or.

    Tu ouvres les placards, par chance, il y avait une trousse de secours mise à disposition. On devient de plus en plus prévoyant dans cette société. Tant mieux, je n'aurais pas à descendre à la pharmacie d'à côté. Tu reviens la voir avec du désinfectant et un bandage... Mais avant de la soigner, tu avais émit un « merde » sonore en voyant le lit. Celui-ci était double, pourquoi les hôtels avaient décidé de toujours en mettre ? Celui-ci était à baldaquins, et visiblement plus que confortable. Tu soupires et t'accroupis devant elle en lui enleva sa ballerine. Pff... Quel manque de goût. Et donc Xanx' tu fais quoi là ? Je soigne sa cheville. C'était sérieux d'être gentleman jusqu'au bout bout bout ? Je ne fais jamais les choses à moitié, chère conscience.

    « Évite de bouger ton pied. »

    Tu te relèves en la laissant sur le lit. Tu décrochas le téléphone, laissa un message au requin avec un petit « déchet » en début de phrase avant de lui prévenir qu'il sera pas là pour quelque jours et tu lui laisses toutes la paperasse et les missions à donnés à tes subordonnés. En raccrochant, tu ouvres le petit frigo juste en dessous du téléphone et en sortit une bouteille de champagne et les verres qui vont avec. Tu débouche le bouchon de champagne avec une habilité étonnante avant de la servir un peu dans une coupe et de lui passer. T'en prends une aussi, et tu t'assis sur un fauteuil. Les jambes tendues et croisées. Tu ne l'as quitté pas du regard.

    « Donc. Que fait la parraine en Italie ? Les rumeurs confirment que tu ne portes pas l'Italie dans ton coeur, je me trompe ? »

    Tu as quitté ton langage fleuri. D'un côté, ça ne t'amuse plus trop. Et dans un moment. Si la discussion se passe bien. Tu finiras par être plus intime avec elle.

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