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 Kagamine, le retour.

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Shirokaz Kôzuki
Neve
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Shirokaz Kôzuki
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Date d'inscription : 18/08/2010
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Feuille de personnage
Anneaux: Anneau du ciel Kagamine, anneau de la foudre hérité par son père, quelques anneaux du ciel (pureté A et B) et anneaux de la foudre (pureté A-D).
Arme : Deux simples guns.
Argent: 10 000 ¥

Kagamine, le retour. Empty
MessageSujet: Kagamine, le retour.   Kagamine, le retour. EmptyLun 28 Fév - 3:18

Une fois sorti de chez Misato, il rentra chez lui. Visiblement, Rin, sa sœur, n’était pas à la maison. Tant mieux, il n’aura personne pour lui dire de ne pas faire ceci ou cela. Il monta dans sa chambre et prit toutes ses boîtes-armes, ses boîtes de stockage et la mystérieuse boîte qui avait un air dominant sur les autres. Il prit ensuite le temps de nettoyer avec précaution ses deux flingues, ainsi que celui qui était dans sa boîte-arme principale. Bien, armement : prêt. Il allait maintenant devoir prévoir quelques affaires de rechange pour ne pas faire crade. Dans sa ville natale, les habitants avaient un très bon goût vestimentaire et n’aimaient pas s’habiller de la même manière tous les jours, ils aimaient l’originalité, et ça, il s’en rappelait très bien après avoir été traumatisé par son voisin... Comment ça vous vous demandez ce que Len va faire dans la ville où il est né et où il a grandi ? C’est évident ! Son but à lui, c’est de reformer la famille Kagamine. Oui, reformer, la famille Kagamine existait déjà à l’époque. A la belle époque... Le blondin soupira. Il n’aimait pas se remémorer ces sombres souvenirs qui ont hanté son enfance. Bref... Il allait plus précisément aller dans son ancien chez-soi pour récupérer les anneaux. Ils devaient surement y en avoir, son père avait son doute dû les cacher quelque part...

Après avoir préparé quelques affaires, il les rangea dans une sacoche. Il lui fallait un peu d’argent tout de même... Il ne pourrait pas survivre sinon, là où il habitait, les prix sont excessivement élevés. Il enfouit ses mains dans ses poches, puis les ressortit. Quelques pièces... On se demandait avec quoi il vivait, et comment il faisait pour garder un physique quasi parfait. Ah, et aussi comment il faisait pour se nourrir ET nourrir sa sœur. Il avait une petite astuce à lui, en plus du fait qu’ici, à Namimori, les prix sont relativement bas. Mais ce n’était pas pareil, il ne pourrait pas utiliser son astuce là-bas. Il fallait qu’il se dégote de la monnaie... Mais comment ? Mmh... Pourquoi ne pas faire de petits boulots pendant maximum un mois ? L’argent gagné devrait lui rapporter assez pour tenir... Aller, c’est décidé, Len allait travailler. Mais s’il voulait avoir le plus d’argent possible, il fallait qu’il arrête le lycée un petit moment, comme ça, il se consacrera uniquement à ses petits « odd jobs ». Il reprendra ses études une fois sa mission accomplie.

C’était bien beau tout ça, arrêter l’école, travailler, refonder une famille mafieuse... Mais faudrait retourner vers le présent. Len n’avait pas petit-déjeuné ! Il avait précipitamment quitté le domicile de la blonde aux yeux miels sans rien avaler. Il dévala les escaliers et se prépara un bon gros bol de céréales. Il se posa et engloutit le contenu du bol, puis en rajouta. Une fois rassasié, il reprit ses deux flingues et cacha tout le reste de son arsenal dans sa sacoche qu’il glissa sous son lit. Voilà, parfait. Comme ça, Rin ne se doutera de rien. Il sortit de chez lui et alla à la recherche de petits boulots. C’était vachement facile d’en trouver d’ailleurs, il y en avait un bon paquet à des heures différentes, et c’était plutôt bien payé ! D’ailleurs il pouvait commencer dès maintenant.

Alors pour commencer, comme il était encore le matin, Len devait distribuer des journaux à tout le quartier. Il emprunta un vélo et commença le travail. Il descendit le long d’une rue assez bondée. Trop de gens, trop de circulation. Mais bon, ce n’était pas un problème pour lui, ça, un vélo ça passe partout ! Tiens... Des maisons en vue. Il envoya un premier journal vers la première demeure, puis un second et un troisième aux deux voisines. C’était plutôt simple et attractif, lui qui croyait s’ennuyer... M’enfin, il ne fallait pas faire de conclusions hâtives. Qui sait ce que les autres jobs lui réservaient. Quelque chose attira son attention. Un marchand de glaces... Il était tenté sur le coup de prendre un cornet melon/mangue mais il ne pouvait pas... Il devait économiser le moindre petit sou à présent. Il quitta la camionnette de glaces à contre cœur et continua son travail. Bref, plus tard, il dû jouer les baby-sitters... Mais pourquoi avait-il accepté cette offre ! Ah... Peut-être parce que le gosse à garder appartenait à une famille de riches et qu’il allait être super bien friqué après ça. Bien... Il n’avait pas le choix. Il se rendit à l’endroit indiqué sur la carte visite qu’il avait récupéré plus tôt. Il fut surpris de voir qu’il était à présent devant un grand manoir style années 1850’. Bon, il se doutait que c’était une famille de riches, mais pas à ce point ! Il sonna. La grille s’ouvrit, laissant place à un magnifique jardin impeccablement bien entretenu. Il s’avança jusqu’à une grande porte qui semblait être la porte principale. En effet, une fois devant celle-ci, elle s’ouvrit, laissant découvrir un homme et une petite fille. Peut-être le père et sa fille... ? Ils étaient drôlement bien habillés... Le blondinet était comparable à un clochard face à ces deux-là... Saleté de nobles ! Il leur adressa un sourire.

« Merci d’être venu jusqu’ici. Vous êtes ponctuel, ma foi, c’est un bon point. Alors, j’ai cru comprendre que vous cherchiez à travailler durant un mois, n’est-il pas ? »

Len acquiesça.

« Ce que je vous propose : on est mercredi. Donc, tous les mercredis durant un mois, vous garderez ma fille qui voilà, dit-il en la désignant d’un regard, et vous ferez tout ce qu’elle vous demandera de faire. Vous ne viendrez donc que quatre fois. »

Offre super intéressante. Il s’attendait à plus pourtant... Mais de quoi se plaignait-il ! Il avait horreur des gosses, ça l’arrangeait ! Il serra la main de son employeur.

« Qu’en est-il de mon salaire ? »

Le noble donna un ordre à un de ses serviteurs qui disparut aussitôt. Il revint quelques secondes plus tard avec une mallette qu’il tendit à son « boss ». Celui-ci lâcha la main de sa fille et l’ouvrit, présentant son contenu au jeune Kagamine. Il n’en croyait pas ses yeux... Tout cet argent pour un pauvre et insignifiant étudiant de Namimori ? Et cette paye... C’était parce que Len allait devoir jouer aux baby-sitters... ?! Pour quatre jours seulement en plus ? Il se ressaisit.

« C’est ce qui vous reviendra le mois prochain, quand vous aurez terminé votre travail. »

Le grand homme referma sa malle et s’éloigna, laissant son enfant au blond aux yeux bleus. Il l’a prit par la main et l’emmena faire un tour dehors. Ils croisèrent le marchand de glaces que Len avait aperçu lorsqu’il faisait son boulot du matin. Il soupira... Il ne pouvait rien acheter pour le moment, et ce n’était non pas pour économiser cette fois-ci –car plus besoin d’économiser quand on sait qu’on va recevoir une somme pareil à la fin du mois–, mais parce qu’il devait faire TOUT ce que la fillette allait lui demander. Et tant qu’elle ne lui avait pas donner l’autorisation d’aller acheter une glace, et bah... il ne le ferait pas. Seulement voilà, la petite fille fit un caprice. Elle voulait absolument une glace. Bon, et bien, ok. Il commanda deux glaces, dont une qu’il tendit à la gamine et paya. Qu’il tendit... à la gamine ? Non, non, la gamine n’était plus là... Elle avait pris la poudre d’escampette. Rhaaaa ! Saleté de gosse ! Il la coursa un long moment et finit par la rattraper. Enfin, la rattraper un bien grand mot. Elle s’était arrêtée devant un magasin de vêtements chics. Len checka les prix. C’était de la folie ! De l’arnaque ! De la pure arnaque ! Il se calma et pria dieu poulpe pour qu’elle ne choisisse pas d’acheter quelque chose d’ici. Elle ressorti, mine déçue. « Rien d’intéressant par ici », avait-elle lâché. Le jeune homme soupira de soulagement. Cette fois il n’allait pas la quitter des yeux. D’ailleurs, il a bien fait. Elle avait encore voulu s’échapper, mais cette fois-ci, Len l’attrapa par le poignet. Il faudrait tout de même qu’un petit grain de respect naisse entre lui et la petite, même si pour elle, Kagamine était un domestique... Mais non, il ne fallait pas qu’il se laisse faire par une gamine ! Fini les caprices. Ou pas... Elle réussi à se libérer et à s’échapper de nouveau. Mais dans quelle galère il s’était mis, bordel... !

Bref, passons. Cette journée était la pire journée qu’il avait jamais passé depuis qu’il avait débarqué dans cette ville. Il avait vraiment horreur des gosses... M’enfin. Les mercredis suivant se passèrent un peu mieux que le premier. Il commençait à sympathiser avec la petite noble dont il connaissait à présent le nom : Miku.

Vint la fin d’après-midi du dernier mercredi. Len et Miku rentraient au manoir. Le blond était tout excité à l’idée de savoir qu’il allait toucher à tout cet argent... C’est limite si des yens s’étaient dessinés sur ses yeux. La porte principale s’ouvrit et le père de la fillette les accueillit. Il ordonna à son enfant de rejoindre sa chambre pendant qu’il parlait affaire avec son « garde du corps ». Une fois qu’ils furent seuls, le riche friqué de noble de mes deux claqua des doigts et deux hommes en costume et en lunettes noirs firent leur apparition, armés. Le sourire de Len s’effaça.

« Je peux savoir pourquoi ces deux-là se tapent l’incruste au moment où je reçois mon fric ? »

Le noble éclata d’un rire jaune et sortit lui aussi un revolver. Mais qu’est-ce que c’était que ce bordel ? Ca ne faisait absolument pas partie du contrat ! Ou bien... C’était des escrocs. Oui, c’était sûr maintenant. Profiter des gens pour faire le sale boulot pour eux, en leur promettant des sommes relativement importantes pour au final, en finir une bonne fois pour toutes avec eux. Pitoyable. Les riches faisaient vraiment pitié.

« Ton fric ? C’est MON fric, et je le garde. Toi, crève. »

Mais avant que ses hommes n’aient pu faire le moindre geste, Len s’était déjà jeté sur celui de droite, lui assénant un coup dans les castagnettes qui lui fit perdre son arme, puis, se jeta directement sur son patron, voyant qu’il était en danger à cause de l’autre gugusse de gauche. Il le bloqua par derrière et le fit lâcher son arme de force, braquant celle qu’il avait récupérée sur la tempe du traitre. Il avait peut-être horreur des gosses, mais il avait encore plus de dégoût pour les types comme lui.

« Un geste, et j’éclate la cervelle de ton boss. »

Il aimait son côté sadique... Il l’adorait même ! De sa main libre, il prit un des deux guns qu’il avait attaché à sa ceinture et le plaça sur l’autre tempe. Il refusait de commettre de crimes avec une arme étrangère. Il la laissa tomber sur la tête de l’assommé –ou presque– de droite, qui fut maintenant totalement assommé. Maintenant, il était bien plus qu’avantagé. La tournure de la confrontation était évidente ! Il prit son deuxième gun qu’il pointa sur le second homme de main du patron et lui visa la jambe. Touché, coulé ! Il se tordait à présent tout seul, poussant des cris de douleurs à réveiller tout le quartier. L’escroc principal prit peur et commença à implorer le pardon du jeune Kagamine.

« Par pitié... Epargne-moi, prends tout mon argent si tu le souhaites, mais épargne-moi... ! »

Il n’avait pas besoin de son accord pour prendre son fric. Enfin, le fric qui lui revenait. Mais l’épargner... Etait-ce une bonne idée ? Bon, aller, il allait être gentil cette fois-ci. Il lui donna un bon coup au niveau de la nuque qui suffit à lui faire perdre connaissance. Le type qui saignait de la jambe s’était évanoui à son tour à cause de son hémorragie. Bien, il ne restait plus qu’à appeler la police. Ce qu’il fit. Elle arriva seulement cinq minutes après le drame et embarqua les trois zigotos. Tout est bien qui finit bien. Il rangea ses revolvers et alla prendre la mallette où se trouvait son « salaire » et se mit à rebrousser chemin. Ah, non... Il avait oublié un petit détail. C’était Miku, il ne fallait pas qu’elle reste toute seule, sans personne pour la nourrir ou pour s’occuper d’elle. Elle lui avait dit que sa mère avait été tuée lors d’un accident de voiture et qu’elle était fille unique. Il se tourna vers un des hommes en uniforme bleue.

« Il y a une petite fille âgée de 4~5 ans à l’intérieur de ce manoir. C’est la fille de ce type, dit-il en désignant le noble du même signe de tête qu’il avait utilisé pour désigner sa gamine, emmenez-la dans un orphelinat, elle n’a pas de mère. »

Sur ces mots, il quitta le manoir et rentra chez lui. Ca y est, il avait fait le plein à présent, il pouvait maintenant partir. Enfin, il attendit plutôt le lendemain pour quitter la ville, lorsque Rin serait sortie. Cela lui éviterait tant et tant de problèmes... M’enfin, zappons. Le lendemain, Rin sortit faire les courses. Parfait. Il prit un bout de papier et un stylo, et commença la rédaction de sa lettre.

« Chère sœurette,
Je t’écris ce petit mot pour te prévenir de mon absence.
En fait, je ne voulais pas te le dire directement pour éviter que tu m’engueules, mais bon, je sens qu’à mon retour, je vais passer un sale quart d’heure.
Je retourne dans notre ville natale pour régler une affaire importante. Excuse-moi, mais je ne peux rien te dire de plus.
En espérant que tu comprennes que j’étais obligé d’agir de la sorte.
Bisous,
Ton frangin qui t’aime fort.
»

Une chose de faite. Maintenant, il lui fallait prendre les billets de train. Il s’habilla et sortit sa sacoche de sous son lit. Il prit également la malle qu’il avait « méritée » avec lui et sortit de la maison. C’était le grand départ.

Il se dirigea vers la gare de Namimori et paya son billet. Il attendit ensuite le prochain train et s’y engouffra. Il alla se placer tout au fond du compartiment, à côté de la fenêtre, comme ça, il aurait non seulement une belle vue sur le paysage de dehors, mais aussi un support, pour si jamais il voulait faire une petite sieste... D’ailleurs, c’est ce qu’il fit. Il posa sa tête sur le rebord de la fenêtre et ferma les yeux. Le voyage allait quand même être long, très long. Ce n’était pas à deux pas d’ici.

Plus tard, vers quatre heures de l’après-midi, le train s’arrêta, ce qui réveilla le blondinet. Il était enfin arrivé à destination. Il descendit du train et s’arrêta pour contempler le paysage. Il n’avait pas changé... Et cet air frais qui lui semblait tellement familier... L’air frais de la ville où il a grandi. Des souvenirs submergèrent son esprit... Des bons, des mauvais, bref... ! Il prit la direction de son ancien habitat et croisa sur la route plusieurs personnes qu’il connaissait. Il les salua et fut surpris de voir que ces gens le reconnaissaient. Ahlàlà, il paierait cher pour retourner vivre ici, mais les moyens l’en empêchent.

Len arriva enfin jusqu’à chez lui. La maison n’avait pas changé du tout. Elle était comme il l’avait laissée. Il poussa la porte d’entrée et monta dans sa chambre. La même qu’avant. Il se laissa tomber sur son lit en fermant les yeux. Toujours aussi confortable. Il se redressa aussitôt, comme... frappé par son but initial qui lui était revenu. Pourquoi était-il ici ? Pour chercher les anneaux de l’ex-famille. Il fouilla la maison de fond en comble et découvrit une espèce de trappe dans la chambre de ses parents. Un passage secret ? Intéressant. Etait-ce la base de la famille ? Il en eut la certitude une fois avoir exploré tous les recoins de ce nouveau lieu. En effet, c’était bien le quartier général de la famille Kagamine. Plus loin, un coffret était posé sur un support métallique. Etait-ce ce qu’il cherchait ? Il s’approcha et ouvrit le coffret tout d’abord difficile d’ouverture, puis, y découvrit les fameuses bagues... Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept bagues ! Celle du Ciel, de la Pluie, de la Tempête, de la Brume, du Nuage, du Soleil et de... la Foudre ?! Mais il l’ornait déjà à son doigt, comment était-ce possible ? Ou bien, cet anneau qui se trouvait dans le coffret était L’anneau qui devait revenir au véritable gardien de la Foudre de la famille... Cela voudrait dire qu’il n’était pas choisit pour représenter cet attribut ? Alors il comprit. Il était destiné à représenter le Ciel, car c’était lui le boss à présent. Mais ce qu’il n’arrivait pas à comprendre, c’est pourquoi il avait évolué en tant qu’un maître de l’élément foudre... Rha, il aurait la réponse à toutes ces questions plus tard. Len referma le coffret et l’emporta avec lui. Proche du but. Il lui fallait désormais recruter des membres qui seraient à la hauteur de la famille. Kagamine reprenait vie. La famille oubliée de tous allait de nouveau refaire surface. Résurrection.

Il regagna sa chambre en prenant soin de camoufler ce passage, comme ça, il sera à l’abri de tous les vilains regards. Il se rallongea sur son lit et lança un regard par la fenêtre. Il faisait actuellement nuit et la lune brillait sur le ciel étoilé. Il ferma les yeux et s’endormit sans avoir prit la peine de mettre son pyjama. C’était l’excitation qui le mettait dans cet état. Malgré le fait qu’il savait qu’être le parrain d’une famille mafieuse était loin d’être de tout repos et de toute sécurité, il ne pouvait s’empêcher de prendre cette idée comme quelque chose de vraiment fantastique.

Le lendemain matin, après avoir pris le soin de tout cacher dans un placard qu’il ferma à double tour, il se rendit chez un expert en arts martiaux. Pourquoi ? C’était tout bête. Il fallait qu’il s’entraîne. En tant que parrain, il se devait d’être à la hauteur de son poste. Le vieillard qu’il était allé voir pour s’entraîner le prit aussitôt comme élève. C’est vraiment pratique de connaître les gens de la région, n’est-ce pas ? Il allait subir un entrainement intensif pendant un bon mois. Après, il retournerait à Namimori et serait à la hauteur pour affronter le monstre... Sa sœur quoi ! Cette fille diaboliquement tyrannique... Rien que d’y penser, ça lui donnait la chaire de poule. Brrr !

Un mois plus tard, vivant dans la souffrance physique mais étant très bien nourri grâce à la fortune qu’il avait amassé un mois auparavant, Len conclut son entraînement et remercia le vieil homme qui lui avait tant appris. Bien, il était temps de retourner à la maison. Rin devait certainement se faire un sang d’encre pour son frère. Il ouvrit la porte de sa chambre, s’habilla en extrême vitesse et rangea ses affaires dans la sacoche. Il y met également le coffret et prit ce qui lui restait de l’argent de la malle. Elle était toute vide maintenant... Mais grâce à elle, il avait pu manger à sa faim, et même s’acheter de nouveau habits ! Bref, il prit la direction de la gare et paya sa place. Le train était déjà là, il lui suffisait d’y entrer, de s’y installer et d’attendre...

Le trajet fut plus long à cause des quelques encombres qu’a rencontré le transport, mais avant même la tombée de la nuit, il était de nouveau à Namimori. Ca lui avait manqué, en fin de compte. Il se trouvait à présent devant la porte de chez lui. Il déglutit, puis entra. Ce n’est que de peu qu’il réussi à éviter le vase que sa sœur lui avait lancé.

« ET C’EST MAINTENANT QUE TU RENTRES, IMBECILE ?! Je me suis hyper inquiétée pour toi ! J’exige des explications ! »

Bon et bien... Tout est bien qui finit bien, comme dit beaucoup plus haut. Len avait achevé sa mission, ou presque, et était en train de passer un mauvais quart d’heure, enfin, une sale demi-heure plutôt ! Rendez-vous prochainement pour de nouvelles aventures... ! Oui, bon, je sors.

HRP : J’ai pété un câble, excusez-moi... Je n’ai jamais fait de poste aussi long, je m’auto-choque là ._.
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Kagamine, le retour.

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