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 Cherry's Life ₪ Little Queen ❀

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Cherry B. Smush
Nuvola
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Cherry B. Smush
Messages : 44
Date d'inscription : 25/08/2012
Age : 26
Localisation : QG Carcassa.

Feuille de personnage
Anneaux: Carcassa nuage C, soleil D.
Arme : Des fils de fer.
Argent: 10 000 ¥

Cherry's Life ₪ Little Queen ❀  Empty
MessageSujet: Cherry's Life ₪ Little Queen ❀    Cherry's Life ₪ Little Queen ❀  EmptySam 25 Aoû - 22:59


❀ Bloosom Smush Cherry ❀
« Let It Grow »


Nom ₪ Deux magnifiques nom de famille que m'ont offert mes parents : Bloosom Smush !
Prénom ₪ Cherry, c'est jolie, et ça sonne sympathiquement à l'oreille des autres. Quant on le prononce, la langue roule, comme si on mangeait un caramel au beurre salée. Vraiment, quel jolie nom.
Surnom ₪ Un surnom ? C'est futile, mais à un point. Pas besoin de surnom, parce que sinon, cela voudrait dire que quelqu'un devrait l'utiliser pour me nommer.
Âge ₪ Dix-sept ans depuis le dernier printemps. Ce n'est pas très vieux, j'ai donc encore de quoi profiter de ma jeunesse.
Sexe ₪ Le sexe dominant voyons ! Je suis une femme, une pure et dure ! Une demoiselle qui ne se laisse pas faire bien sûr. ♥
Famiglia ₪ Je fais partie de la digne famille des Carcassa. Vous savez, la famille supérieur aux Vongola. (a)
Orientation sexuelle ₪ Je suis bisexuelle, un mâle ou une femelle ne font pas grande différence.
Taille & Poids ₪ Est-ce que cela vous concerne ? Non, je ne crois pas. Alors foutez moi le camps plus vite que ça voulez vous.
Flamme Primaire ₪ La splendide flamme du nuage bien sûr ! Pour qui me prenez vous, jeunot ? Je suis une professionnelle, moi.
Flamme Secondaire ₪ Vient la flamme du soleil, oh, je l'utilises rarement, mais elle est quand même présente ici.
Rang désiré ₪ Gardienne du nuage si possible. Pour mettre un peu d'intelligence parmis tout ces crétins.
❀ Appearance ❀

On ne décrit pas un Homme avec des mots, on ne le décrit pas par sa façon de se présenter, ni par sa manière de parler. On ne peut qu'essayer de trouver à l'à peu près comment il est, et encore, cela n'a parfois rien de possible. Un être humain ne peut-être décrit à cent pour cent, on ne peut en faire qu'une rapide copie avant que tout ne change. Rien que les cheveux poussent à chaque instant ce qui les rendent indescriptibles en profondeurs et donnent ainsi de l’intérêt à la chose. On ne peut donc décrire quelqu'un uniquement en globalité sans pour autant être sûr au maximum de l'avoir décrit dans les moindres détails.

Toi, tu es un être humain et tu n'as aucune différence avec les autres au niveau de ces règles. Alors, on ne te décriras que brièvement à l'écrit, avec des mots qui semblent coller à notre façon de te voir, mais cette vision ne sera pas pour autant réelle au vue du nombre incalculable de changement que subit ton corps chaque jours et qui ne peuvent être visible quand ils ont lieu mais qui le sont pourtant quand ils s'accumulent.

De bas en haut, de haut en bas. Ce n'est pas l'ordre de la description qui compte mais plutôt son contenu, après tout, peu importe l'ordre dans le quel on le regarde, tu ressembleras toujours à toi même … Mais si l'on commence par en bas, on ne verra pas ton visage, on ne saura pas si tu as des pustules pleins la face ou bien si tu as de la morve au nez. Néanmoins, si l'on commence par le haut, on ne remarquera pas si tu es quelqu'un qui met des tongs avec des chaussettes hautes pour aller jouer à la pétanque en disant « Alors, tu tires ou tu pointes ? » avec un bon accent bien Frenchie.

Nous commencerons donc par le globale, comme ça, il n'y aura pas d'inégalité et on apercevra un peu des deux extrémités de ton corps ce qui nous permettra d'avoir une idée sur la chose sans pour autant avoir une préférence pour l'une des parties du corps dans la description qui va suivre.

Tu n'es ni trop grande, ni trop petite. Au niveau de la taille, c'est le milieu de ces deux choses. On ne peut pas te traiter de girafe ni d'Hobbit parce que c'est faux. Oui, un Hobbit mesure à peu près un mètre cinquante deux et une girafe … Il n'y a pas de mètre assez long pour la mesurer, à moins que tu ai subit une mutation génétique ou autres maladies infantiles tu ne peut pas faire aucune de ces deux tailles, lui, toi mesure un mètre soixante-douze sans talons ou semelles compensées et on peut utiliser des pouces pour te mesurer.

Et avec ceci ? Un total de cinquante kilogrammes est indiqué sur la balance quand tu montes dessus en te réveillant. Car certes, tu n'as beau pas beaucoup manger, tu ne fais pas non plus de sport hormis tes activités mafieuses et ne possèdes donc pas de « muscle à la Sangoku » mais plutôt des tablettes de chocolats Milka alliée à une poitrine féminine. Quant à ton ventre, tu n'as même pas de graisse quand tu te plis en quatre, ou du moins si tu en as tu ne l'as montre pas.

En gros, c'est toi. Une fille normale qui ne s'enquiquine pas avec des fixations sur sa taille ou son poids, qui se fiche si un jour elle devient obèse ou si elle rétrécit au lavage. Oui, c'est quelqu'un de tout à fait normal d'après ces premières informations. Tu le sais bien. C'est le global. Mais la globalité ne fait pas la normalité, ce ne sont pas des synonymes. Méfies-toi donc des apparences.

Tes mains, elles ont cinq doigts chacune. Aucune malformation de naissance ou autre, elles sont tout ce qu'il y a de plus normales. Une pomme proportionnelle à la taille de tes doigts y est bien présente, et tes ongles sont coupés et sans aucun vernis pour. Ils sont aussi tout fins. On dirait presque des doigts de fée mais ils sont un peu plus gros quand même, mais ça ne fait pas des boudins non plus. Et puis, tu arrives quand même à faire le « Longue vie et prospérité » de Spock avec, comme quoi tout est possible avec tes mains.

Tes bras, c'est du pareil au même. Que pourraient-ils avoir de spécial vu que tu ne t'es jamais tatoué ? Certes, une marque de naissance ou un reste de vaccin aurait put être présent, mais que nenni. Sachant que tu n'as pas non plus de « biscottes » tes bras sont tout aussi ordinaires que les autres parties de ton corps.

Tes jambes, c'est comme le reste : toujours « normal », toujours « banal ». Tu n'as rien de particulier et ne le cache pas foncièrement. En faite, pour l’instant, tu es le genre de personne banale type. Pas grosse, pas maigre, pas de muscle mais pas au point qu'on aperçoive tes os.

Tes pieds, c'est une pointure numéroté par trente huit qui les couvrent. D'assez grands membres que voilà même si ils ne sont pas aussi grand que certains. Les tiens, ils sont plats, d'ailleurs, ça t'as déjà coûté pas mal d'argent pour des semelles orthopédiques ainsi que des béquilles suite aux nombreux coups que tes pieds t'ont fait en le faisant glisser par terre.

On fait le bas, puis le centre, et ensuite, que reste t-il ? Le haut. La tête, la nuque, tout. Ce n'est pas très compliqué à décrire ton visage malgré les nombreux détails que tu peux posséder.

Un visage totalement féminin de forme ovale se situe sur ta nuque – c'est pas comme si tu étais le cavalier sans tête aussi –, visage qui au passage est totalement recouvert d'une tignasse brune se situant sur le haut de ton crâne. Deux oreilles, un nez, deux yeux, une bouche, quoi de plus normale hormis ceci ?

D'ailleurs, en parlant de ta touffe, saches que tes cheveux partent n’importe comment ! Enfin, pas totalement, mais on remarque souvent des mèches qui rebiquent dans son tas de poil. Ton brun part vers l'extérieur de ton visage, enfin celui qui n'est pas attaché en queue de cheval, ce qui fait deux mèches sur le côté de ton visage. Ta queue de cheval, s'est une haute, et tu la passes parfois dans le creux de ta casquette. Sinon, tu as une frange, et pas une mèche, mais peut de personne la voient à cause de ton chapeau.

Tes yeux ils sont bleus comme le ciel ! Et bien entendu, ce ne sont pas des lentilles qui permettent ceci. Oh ! Et c'est aussi la couleur que prend la mer quand les nuages se lèvent dans le ciel.

Parlons désormais de ton nez. Certains sont trop grands, d'autres trop petit, des gros, des aplatis, des ronds des fourchus, il y a toute une liste de forme pour les nez. Le tiens, s'est le nez banal, celui qu'on voit un peu partout sur terre. Tu sais, le petit nez que tu ne trouves pas très jolie mais qui te va à ravir.

Mais bon. Parlons de ton style vestimentaire maintenant, car oui, tu dois quand même en posséder un. Tu aimes les tee-shirt banals. Les blancs te vont à ravir d'ailleurs. Et par dessus, tu mets une sorte de veste sans manche de couleur noir. Juste pour le genre. Et avec ceci, un fruit un short en jeans. Ta casquette bien entendu. Et des baskets. C'est d'une banalité hors normes. Et, quand tu ne mets pas ceci, tu mets des habits tout autant normaux. Un jean, un t-shirt, un sweat. Quoi de plus simples ?
❀ Mentality ❀


Tu es tel un pokémon, tu évolue à chaque instant, changeant aussi bien de forme que de mentalité. Au début, tu avais peur, tu restais dans ton coin sans trop rien : tu te faisais petite. Mais après, tu prenais de plus en plus d'espace, tu te faisais remarquer, tu faisais en sorte que les gens sachent qui tu es. Tu avais « level up ». Tu en étais même devenu détestable. Bon dieu, combien de vois tu essayais d'aller voir les nouveaux qui semblait faible pour les faire pleurer dans leurs coins. Oui, tu ne supportais pas les autres : tu étais même associable. Tu parlais peu aux gens, tu les évitais, et pourtant, quand ceci t’adressais la parole, tu prenais quand même le temps de leurs répondre : sympathiquement, ou détestablement. Tu trouvais que c'était beaucoup plus polie que de mettre des « vents » alors tu faisais. Mais au fond, si ton père était là, il t'aurais sûrement traité de « pouffiasse » au vue de ce que tu étais devenue.

Tu n'étais pas faites pour être aimer, ou du moins, tu faisais en sorte d'être détester. Tu savais pertinemment qu'avec un sourire de temps en temps, tu pouvais déjà être plus apprécié, mais que nenni, tu adores te faire voir de travers. Le regard des autres, tu t'en fiches, tu disais d'hors et déjà qu'il est négatif, et quand il est positif, tu l'ignores royalement en te disant que ça ne te concerne pas. Tu es carrément devenu impertinente, t'en rends-tu compte de ceci ?

Des amis ? Mais pour quoi faire ? Tu ne connais même pas ce termes, et tu ne veux pas le connaître. Pourtant, ça ne te ferait pas de mal d'en avoir quelqu’un, même si ce sont des rares cas spéciaux. Tu sais, juste histoire de montrer que tu sais parler gentiment, voir carrément rire. Certes, tu n'es pas là pour devenir un bisounours … Mais il faut avouer qu'être un bisounours te scierais sûrement plus qu'être de la glace ou du béton. Toi qui aime tant les Marvel, ne t'es tu jamais représenté dans un de ces super-méchants aux dons inédits ? L'homme sable peut-être ? Aussi peut sympathique que ce dernier, voilà ce que tu es. Tu te vois peut-être plus dans le rôle de Spiderman, mais ça ne sera sûrement jamais le cas. Lui au moins, n'est pas hautain comme toi. A vrai dire, il est plutôt sympa. Quel est ce mots ? Oh ! c'est vrai, tu ne le connais pas.

On te croit bête, on te dit inculte. Pourtant, de la culture, tu en as ! Tu n'as même que ça dans ta tête. Combien de film regarde tu tout les jours ? Combien de livres lis-tu chaque semaine ? Et combien de jeux-vidéos termines-tu tout les mois ? Tu ne les comptes plus, tu deviens incollable là-dessus. Mais ça, ça ne va pas t'aider à grand chose, n'est-ce pas ? Après tout, tu es dans la mafia, pas sur Senscritique.com, mais ça, tu n'as pas l'air de l'avoir compris, après tout, dès que tu as quelques minutes de libre, on t'aperçois sauter sur ta PSP pour jouer à quelques Final Fantasy histoire de ne pas « perdre la main » et de t'imaginer des techniques saugrenus que seuls des héros de jeux-vidéos peuvent faire. Vraiment, tu n'es pas très normale. Les autres sont devant leurs portables ? Et alors, toi, tu es devant ta console. Une jolie petite geek, voilà ce que tu es. Tu raffoles de la bagarre en 2D, mais en trois, tu n'aime pas, alors derrière ton écran, qu'est-ce que ça sera ? Tu n'as pas l'air d'avoir compris que ce n'est pas en appuyant sur des boutons que tu réussiras ta vie dans ce monde. Tu t'en fiches, mais pas ton entourage.

Oh ! ton entourage, parlons-en tiens. Tu l'as toujours méprisés, tu t'en es toujours moqué. Vulgaire demoiselle, tu leurs disais des mots aussi doux qu'un des premiers rasoirs ayant existé. Mais ça bien entendu, tout le monde l'a remarqué. Toi et ton langage cru, vous ne passez pas inaperçu. Qui sait, peut-être qu'un jour, tu te feras sévir à cause de ça ? Tu en doutes, certes, mais la prudence n'est pas de mise là-dessus. Tu ne connais pas non plus ce mots, il en est normal quand on voit la tête brûlée que tu es. Des plans d'attaques ? Plutôt mourir, autant foncée.

Mais dis toi Cherry, que ce n'est pas parce que tu te crois forte que c'est le cas. Viendra sûrement un jour ou l'autre ou quelqu'un te fera comprendre que « stop » là, tu n'es pas Dieu. Que t'es juste une mafieuse dans ces familles et que tu n'es sûrement pas la plus forte. Alors arrête un peu ton délire, c'est comme si un humain dans le monde de pokémon disait qu'il veut devenir maître de la ligue alors qu'il n'aura jamais aucun pokémon. Tu vois le genre ? Bah cet humain, c'est toi.

Mais qu'importe, tu n'as pas besoin d'alliés dans ton aventure. Après tout, tu clames bien haut et fort que les nuages n'ont besoin de personne, et surtout pas toi. Tu en es carrément devenu maniaque. Ce point de vue, tu n'oses pas le changer, parce que la solitude, ça ne part pas comme ça. Tu le sais très bien, si un jour, quelqu'un vient te voir de manière tout à fait gentille, tu ne saurais pas lui répondre autrement que part des mots venimeux que tu ne voudrais peut-être pas dire. Tu pourrais peut-être même passer aux poings si il continu.

On te voit comme quelqu'un sans sentiments malgré le fait que tu en possèdes beaucoup. Le seul petit truc, s'est que tu ne les montre jamais aux humains. Aux animaux ? Tu les adore, sauf tout ce qui ne sont pas très esthétique comme les limaces ou les araignées. Ceux là, tu hurles en les voyant, et tu t’enfuis en courant. S'en est même comique à voir. Mais ça l'est déjà moins que tu reviens avec une bombe lacrymogène pour tuer ces pauvres bêtes qui n'ont rien fait. Bien sûr, tu ne les tues pas tous, des fois, tu ne fais que les assommer un bon coup, ou leurs couper quelques pâtes, voir leurs écraser leurs cervelles. Mais avec les autres animaux, tu es juste adorable : tu les chéris, les câlines et leurs donnes le plus d’affection possible. D'ailleurs, ton seul ami n'est autre qu'un chien, ton chien. Black Pearl. Quel drôle de nom pour un chien. On voit tout de suite à quel point tu connais tes classiques.

Mais ces drôles de bêtes ne sont pas les seuls choses que tu aimes hormis tout ce qui est sur écran ou sur papier. Tu adores aussi la nature. Les fleurs, les arbres et l'herbe. Tout ce qui est capable de faire cette photosynthèse sont à tes yeux magnifiques. Et l'odeur que dégage le pollen t'enivre à un tel point que tu en sourirais presque. Voir les abeilles sur les pétales d'une rose est à tes yeux un spectacle splendide qu'il faut immortaliser à tout prix. Alors tu les photographies en souriant, et tu regarde l'insecte s'amusait avec la fleur, faisant une pseudo danse avec cette dernière. Et tu aimes ça. Tu en es raide dingue et tu pourrais regarder ceci pendant des heures et des jours. Quand tu le fais, tu ne vois plus le temps passer.

D'ailleurs, tout ceci t'as fait devenir herbivore. Ou du moins, tu ne manges pas de viande, ces petites bêtes ne le méritent pas. Les salades, s'est différent, soit tu les mangent, soit les limaces s'en chargent. Alors autant le faire. Quand tu sens l'odeur de la viande, tu as envie de vomir. Tu te dis que s'est comme être cannibale de manger ces créatures. Et tu te mets à détester ceux qui le font.

A part tout cela, tu as une autre passion. La photographie. Tu prends tout ce qui bouge en photo, trouvant les images plus belles que la réalité. Au moins, elles ne bougent et ne parlent pas. Elles sont calmes, ça change du moment présent. Tu adores ceci. Tu pourrais passer ta vie dans l'herbe à cadrer l'image que tu vas immortaliser. Drôle de passion pour une mafieuse, tu en as presque l'air frêle. Les gens qui pensent ceci ne te connaissent pas.

D'ailleurs, quand quelqu'un te cherche, ou des fois pour aucune raison, tu frappes. Tu ne te retiens pas. Des poings, tu en as, tu les montres, tu t'en sers. Peut importe les conséquences, si tu le frappes, s'est juste pour toi. Et à tes yeux, la personne tabassé peut se sentir honoré d'avoir eut droit à ton magnifique poing sur son visage. Surtout si s'est un mâle.

Tu maudis les hommes. Ou du moins, une bonne majorité. Parce que tu les trouves sales, inutiles, faibles et bêtes. Voir carrément macho. A tes yeux, la race forte, ce sont les femmes. Sans elle, les mecs n'auraient qu'une porcherie à la place d'un lieu de vie. En faite, ils deviendraient tous zoophile pour des cochons. Tu le sais. Tu en es sûre. D'ailleurs, à tes yeux, les seuls hommes qui valent le coups, ce sont les gays. Parce qu'ils ne jouent pas au « Ta gueule femme, va me faire un sandwich ».
❀ Story ❀

Smile.
Les paroles de ces adolescents fusent dans le vent. Ils te parlent mais tu ne les entends pas. Adorable demoiselle que tu es, tu n'as pas besoin de les écouter. Un jour ils te traitent comme une reine, l'autre comme une pimbêche. Tu les hais. Tu l'as toujours sus et s'est cela qui te rends unique : le fait de savoir que tu maudis ce qui te considèrent comme une « amie » mais au plus profond comme un « bouche trou ».

Tu en ris. Tu en as parfois pleurer, mais c'est vite passé. Au fond, tu t'en fiches. Ils ne t'arrivent pas à la cheville. Une gamine comme toi le sait et n'en doute pas. Tu n'en doutes, mais tu ne le sais pas. A vrai dire, tu n'es pas une gamine, tu es bien plus que ça. On te l'a répété, encore et encore. Tant de fois que cela ne sort plus de ta tête. Tu n'es pas une gamine, on te l'a déjà dis : tu es un membre de l'orpheline Wenchester. Tu es donc mature, adorable, intelligente. Tu n'es pas une gamine. Tu es un mime que l'on maquille à sa guise. Une poupée que l'on bouge selon nos désirs, un clown qui ne se rend pas compte que ce qu'il fait est pitoyable. Un simple pions sur un échiquier où la partie est perdue d'avance. On te donne de l'espoir, tu l'accepte avec une mimique sympathique, tu le jettes par derrière en crachant dans le dos de la personne qui t'a crut assez bête pour croire que ta vie serait un jour belle.

Une simple adolescente comme les autres, voilà ce que tu es. Une orpheline dont les parents n'ont jamais voulus. Une enfant qui ne verra jamais une photo de famille. Une gamine sans géniteurs. Au fond, tu le sais. Tu l'as toujours su. Mais tu fais ta bécasse. Une niaise qui ne parle pas et qui sourit bêtement aux gens qui t'approchent. Et au fond de toi, ton âme cri « Au bûcher ! » pour que ton côté pittoresque disparaisse enfin. Tu n'as aucun talent. A part celui de te morfondre dans le décors. Les gens te surnomment parfois « Le caméléon ». Tu en ris. Tu en pleures. Tu ne sais que faire face à cette remarque qui te plante un couteau dans le dos.

En fin de compte, tu caches tout ça. Tu te renfermes, et tu t'assois sur un banc. Tu lèves la tête et regarde le ciel. Tu l'aimes. Et dans ce ciel bleu clair, tu regardes les nuages passer. Tu leurs offres des formes, des noms, et des préférences. Tu en es fan. Toi, la gamine que tout le monde ignore, tu adores regarder ces nuages passer tout en étant seule. Et ce manège recommence. Encore et encore. Chaque jours. Peut importe le temps, on t'aperçoit parfois regarder le ciel. Rêvant d'un jour pouvoir toucher le ciel. Marcher sur la lune tel Neil Amstrong. La douleur te lancine petit à petit ton cœur. Mais rien. Tu ne craques pas.

Alors tu pleures. Parce que tu ne sais faire que ça. Tu n'es qu'une enfant de quatorze rêvant de voir le monde et de voler comme un oiseau. Une adolescente qui rêve de s'échapper par dessus la barrière. Tu pris qu'un jour cela arrive. Et tu te fonds dans le décors.

Qui es-tu ? Tu es Cherry Bloosom Smush. Une orpheline de nationalité Anglaise qui ne connaît son nom que grâce à une petite carte que tu as brûlée l'année dernière. Aucun lien. Plus rien. Le néant. Voilà ce qui te rattache désormais à tes parents. Et le sang. C'est tout ce qui reste entre eux et toi.

Qui es-tu ? L'inconnu que personne n'écoute jamais et à qui on ne demande jamais son avis. Tu es la statue du groupe, le légume de la bande. La quiche môle sans burne qui n'ose même pas parler. Tu es l'inconnu dont le cœur gronde à chaque instant.

Que seras-tu ? Quand on te poses cette question, tu ne vois pas comment y répondre. Alors tu réponds juste « Je serais quelque chose. » et on se moque de toi. Car quelque chose, ce n'est pas quelqu'un. Mais tu es trop jeune pour comprendre ça. Alors on te laisse dans ton coin.

Pauvre Cherry.
Pathétique Cherry.

Tu regardes le ciel. Encore et toujours. Tu n'attends que ça. De prendre ton envol par tes propres ailes. Ne plus être porté par des oiseaux boiteux. Alors aujourd'hui encore. Tu es sur ce banc, allongé, les bras sur ta poitrine, respirant doucement au rythme du vent. Tu le regardes nostalgiquement. Tu tends ta main vers le ciel, essayant de la toucher, de l'attraper. Tu n'y arrives pas. Et le cris des oiseaux tinte à tes oreilles. Ils se moquent de toi. Ta respiration se fait bruyante, tu tends un peu plus la main vers le ciel, tes yeux commençant à s'embrumer, ta respiration devenant irrégulière, et ta gorge se nouant de douleur. Tu as peur. Tu le sais. Tu pris pour qu'on te voit enfin, qu'on entende ton appel au secours, mais rien. Tu tends un peu la main vers le ciel. Encore. Encore. Encore. Plus rien. Ton bras retombe lourdement au sol. Tu t'effondres, en larmes. Ta première déception, ta première véritable douleur. Aujourd'hui, tu as compris que cette vie, elle ne serait jamais belle. Alors tu hurles ton désespoir à travers l'eau qui ruisselle long de ta joue.

Inutile Cherry.
Inconsolable Cherry.

Demain s'est aujourd'hui. Tu n'as pas dormis de la nuit, et tes yeux ont des cernes énormes qui les décorent. Tes paupières ne sont pas lourdes. Tes pupilles quant à elles, sont rouges. Ta douleur se fait insoutenable. Tu maudis quiconque t'approche.

Tout les mouvements que tu fais ne sont pas vraiment de toi, tu te meus comme un zombie. Personne ne le remarque. Tu es invisible. Le caméléon, quel jolie surnom. Il te convient parfaitement. Ensemble, vous êtes une parure magnifique. Peut-être qu'un jour, quelqu'un voudra bien de toi, qui sait.

Tu rêves éveillé. Qui voudrait d'une sotte comme toi. Même le diable ne t'aimes pas. Sans vie, sans amie, ni aucune connaisse. Personne à qui parler, tu inspires juste la pitié. Enfer et mal être se mélange si bien à travers ta personne. Tu te punis toute seule sans qu'on ai besoin de le faire. Un gain de temps formidable que les autres pensionnaires ne donnent pas. Mais toi si. Pauvre, pauvre, pauvre enfant. Sans personne à qui se raccrocher, ta vie est bien compliquée.

Néanmoins, ceci, tu l'as toujours su. Alors ça ne te gâche pas la vie. Mais à force d'endurer, tu souffres plus de que cela ne te protège. Tu veux de l'espace, de la liberté. Tu veux te sentir bien et être heureuse. Cherry. Voilà ce que tu veux devenir. Mais dans un lieu comme celui-ci, est-ce vraiment possible ? Tu n'en doutes pas une seconde, il semblerait même que tu saches d'hors et déjà comment t'y prendre.

Tu bouges. Tu te diriges vers le lieu où tu sais que tout ceci est possible. Dehors. Tu vas vers ton endroit, ton repère, ton foyer : ton îlot du désert. Ce banc à qui tu accordes toute ta confiance. Mais au moment où tu l'aperçois, il n'est pas seul. Des gens sont sur lui, comme toi tu l'es parfois. Tu ne renonces pas pour autant, tu t'approches doucement et, pour faire comme si de rien n'était, tu t'installes contre le mur, les bras croisés dans ton dos.

Et tu attends. Tu ne sais faire que ça. Tu attends que ces personnes partent. Mais rien, ils ne bougent pas. Ils rigolent. Ils se font tourner quelque chose. Non pas de l'alcool, mais des cigarettes rigolotes. Alors tu les regarde fumer et planer. Souriant comme des enfants à qui le monde à tout donné. Et toi, tu es là. Comme une pauvre fille sans amie. Toute seule, comme quelqu'un dont personne ne veut. Tu seras toujours seule si tu ne changes rien, tu le sais pourtant bien. Mais un petit quelque chose en toi t'empêche de craquer. Alors tu regardes juste le petit bout tourner d'une bouche à l'autre. De mains en mains. Tu les entends rire. Tu souffres. Ton cœur se sert, il tambourine d'une façon lourde dans ta poitrine. Tes yeux ne lâchent pas du regard la substance illicite.

Tu en veux. Tu t'en rends compte et tu ne sais que faire. Tes mains en tremblent, mais tu en veux. Alors la limite se casse. Tu te retires du mur et t'approches rapidement du groupe. Il te regarde en rigolant. Et toi, ton cœur chavire un peu plus à chaque instant.

Tu craches à la figure de celui qui possède le bout d'herbe avant de le prendre sans t'occuper des cris de protestation derrière. Tu mets rapidement l'objet à ta bouche pour en dire plusieurs lattes. Et tu cours. Tu fuis ce groupe enragé qui reveut son bien. Mais toi, tu ris tout en courant. Tu te sens bien. Tes jambes sont légères et tu as l'impression de voler.

Et tu te t’arrêtes. Tu comprends. Ils te rattrapent, tu les laisse jouer leurs gros caïdes des bacs à sables. Tu les écoute parler sans les écouter. Et au moment où ils te demandent leurs drogues, tu leurs réponds un « Allez vous faire foutre. ♪ ». Tu suis la parole aux gestes. Tu mets un poing à la première des personnes qui te tombe sous la main. Tu déverses toute ta haine sur eux. Tu le frappe, encore et encore, alors que ses amis essayent de t'en empêcher. Alors tu jettes le joins par terre et tu l'écrases devant leurs regard. Ils ne te lâchent, trop choqué par ce que tu viens de faire.

Alors tu pars. Comme si de rien était. Te sentant tragiquement bien. Souriant d'une façon dont tu n'avais jamais fais part.

Watch.
Tu restes là sans rien, en écoutant « Ella, elle a » en bouclant. Aujourd'hui, s'est un jour comme les autres. Un jour morbide, pour ne pas changer. Depuis que tu as montré que tu existais, des mois ce sont passés. Et pendant ces mois, tu n'as plus jamais regarder le ciel. Ni les nuages. Tu t'es juste montrée désagréable. Les autres ne t'ont pas compris. Tu t'en fiches, toi, tu sais pourquoi tu as changé. En effet, plus personne ne te nommait Le caméléon. Tu n'étais plus invisible, tu étais même un peu trop voyante. Mais tu t'en fichais. Les gens qui le savait partait, et ceux qui ne savaient pas ne t'approchaient pas. Ta vie était devenue magnifique. Tu ne parlais plus à personne, mais tu te sentais heureuse. Plus de « bouche troue » qui tienne. Juste des « poings » qui partent.

Alors oui, aujourd'hui est une journée spéciale pour toi. Et pour tout les autres. Noël. La plupart des gens ont pour cadeau un aller sans retour pour une famille. D'autres des poupées, des peluches, du chocolat ou des clémentines. Toi, tu as eu une barbie. Et tu en as ris. Quand la dame en charge de la journée est venue te demander si ton cadeau te plaisait, tu lui as répondu d'une façon si odieuse qu'elle en reste bouche-bée. Tu es partis, la tête haute. Et les autres ont tous étaient choqués.

Tu savais te faire remarquer, tu aimais te faire voir dans ce sens, mais tu détestais que l'on t'observe. Drôle de plaisanterie que voilà. Les gens te commentaient sans cesse. Mais tu ne les écoutais pas, et quand ils venaient vers toi, tu les frapper. Tu t'étais fais voir, on t'avait renommer par des pseudonymes ô combien sympathique à tes oreilles. « Pute », « Traînée », « Connasse », « Sale Pouffe », « Grognasse », « Branleuse » et ainsi de suite. Tu en étais fière. Désormais, tu existais, et les gens te craignais. On en était même venue à un point où les gens craignait les cerises, de peur de s'étouffer avec, comme si tu les contrôlais.

Mais aujourd'hui devait un jour de joie. Et tu venais de tout gâcher. Comme d'habitude. Après tout, les autres étaient tous « gentils », « mignon » et « adorablement chou ». Toi, tu étais juste une pseudo folle alliée qui tape sur tout ce qui bouge. S'était un masque, mais tu l'adorais.

On t'as déjà traitée d'idiote et d'imbécile plusieurs fois. Les personnes chargés de la gestion de ce lieu avaient bien des problèmes à cause de ta personne. Et tu en étais fière. Même à Noël, tu trouvais le moyen de gonfler les personnes qui t'entouraient. Mais tu t'en fiches, tu es déjà parties dans les couloirs en cognant la pauvre poupée sur tout les murs et en riant. Il faut dire qu'ils te prennent vraiment pour une gamine. Quelle personne de seize ans joue encore avec une barbie ? Pas toi en tout cas.

Alors tu vas vers les toilettes, tu la mets dedans la tête la première, et tu mets un coups de pieds dans le bouton pour la chasse d'eau. Elle se fait littéralement broyer par le flot de l'eau qui l'emporte ensuite dans les tuyaux. Hélas – ou heureusement pour toi – le plastique bouche les canalisation, faisant ainsi débordé la cuvette, tu ricanes, barbotant dans la marre d'eau.

Le monde est si beau à tes yeux. Tellement joyeux et unique. Ta vision des choses à changé depuis le temps que tu es ici. Et tu as désormais hâte d'avoir dix huit ans pour partir d'ici, laissant d'horrible souvenirs aux pensionnaires qui resteront ainsi, perpétuant ainsi ta légende grâce à la parole. C'est comme ça que ça se déroulera. Tu le sais.

Mais aujourd'hui, ce n'est pas encore ce jour. Aujourd'hui, tu profites juste de l'occasion pour dire que « tout doit être pardonné » et donc faire les pires coups bas possibles aux élèves. Tu voles, tu détruis, tu caches. Tu te moques, tu insultes, tu copies. Tu t'amuses, ça te plaît.

Désormais, tu cours dans les couloirs, tu vas n'importe où, et où ça te chantes. Tu fuis. On cri ton nom, on veut te voir. Tu n'es plus là, pas pour eux en tout cas. Alors tu te caches. Tu joues comme une gamine. Mais enfaîte, s'est juste pour être tranquille que tu fais ça. Pour faire, pour dire au monde que tu n'es pas normale, qu'il ne faut pas t'approcher. Mais malgré tout, on t'appelle encore.

Qui ose t'importuner une telle journée ? Tu lui en diras deux trois mots. Mais pour l'instant, tu ne sortiras pas de ton placard à ballais. Il fait sombre et humide, tu y es bien.

Crétine. Imbécile. Si tu savais que tu risquais de gâcher ta vie en restant ici. Tu es si bête Cherry. Mais tu n'as pas dis ton dernier mots pour autant. Quand tu entends que la voix se rapproche, tu mets un violemment coups de pieds dedans pour que la personne se la prenne en pleine face. Et tu sors, en sifflotant, comme si de rien n'était. Tu viens de casser le nez à un éducateur. Félicitation.

Tu voulais te re sauver, mais il t'en empêcher, t'attrapes par le poignée tout en tenant son nez. Tu te débats, tu le griffes, le mords, et tu te laisses traîner tout en essayant d'aller dans le sens contraire. Mais ce gars à une bonne poigne, et toi, t'es encore qu'une adolescente qui se drogue au moins une fois tout les deux mois.

Mais, tu te stoppes quand tu arrives dans une salle. Le directeur, l'éducateur, un deux hommes, ainsi que toi. Vous n'êtes pas beaucoup, mais tu n'es guère très à l'aise. Pourquoi il n'y a que des hommes dans la salle ? « … Vous allez jouer à trouver l’intrus, s'est ça ? Désolé, mais s'est moi, j'ai pas de burnes. » est la seule chose que tu trouves à dire. Mais au lieu d'énerver, cela fit rire les deux inconnus. « Hey, vous êtes gay ? » fut la suite de ta pensée. Ils te répondent que non. Tu leurs réponds un rapide « Ouai, ouai, c'est ça. » qui fit enrager mentalement le directeur qui ne le montra pas pour autant.

Tu ne comprenais pas vraiment ce qui se passait. Ces gars te parlaient, tu les écoutais, commentant parfois d'une façon cynique leurs phrases, mais en aucun cas ils ne s’en rageaient pas. Et à la fin, tu te retrouves presque adopter. Vraiment, Noël venait de te gâter. Tu n'y voyais rien contre, ces gars, tu les trouvais … Spéciaux. Différents. Et au pire, tu ferais une fugue, pour ne pas changer.

Alors, un mois après, tu partis de Wenchester. Toute fière. Le dernière geste que tu fis en l'honneur de ses batiste, ce fut un doigt d'honneur remarque à son attention.
Cry.
Tu étais devenue une fille forte. Tu avais dix sept ans, et tu étais devenue la gardienne du nuage de la famille Carcassa. Au fond, tu aimais bien cette famille, ça changeait des autres personne sur cette terre. Et puis, tu avais du quoi t'amuser ici. De l'action, des personne sà embêter, des rivaux, des ennemis, et lui.

Tu ne sais pas comment tu avais fais pour t’attacher à quelqu'un comme lui. Un pauvre gamin maudit car il était le meilleur. Mais tu l'avais fais. Tu lui étais attaché comme tu ne l'avais jamais été. Tu l’appréciais. Malgré son côté bizarre, tu te sentais bien avec lui. Tu l'écoutais parler, se plaindre, tu te moquais de lui, il te répondait, tu riais. Tu te sentais bien. Skull. Quel drôle de nom s'était. Tu n'avais jamais compris pourquoi il se nommait ainsi, mais tu ne cherchais pas à comprendre. Pour toi, la réponse était juste « Parce que s'est un arcobaleno ». S'était tout. Si simple que ça. Et ça te suffisait à être heureuse.

Son odeur certes spéciale, mais elle était quant même respirable. Tu ne l'appréciais pas foncièrement, mais elle te rassurait. Après tout, quand tu la sentais, tu savais qu'il était là. Il était en quelque sorte un ami. Pas comme ton chien, Black Pearl, s'était un vrai. Alors tu passais du temps avec lui. D'ailleurs, tu ne parlais pas beaucoup aux autres membres des Carcassa, quand tu les voyais, tu les envoyais paître. L'amour vache. S'était le lien qui t’unissait à eux.

Alors Skull était unique à tes yeux. Alors ce moment t'as détruit. Ce fameux jours où tout les arcobalenos sont morts. Où il ne resta rien. Ce fut horrible, impensable même. Tu l'attendais. Tu te disais qu'il allait revenir. Tu l'as attendu des jours, cinq. Mais rien. Tu savais qu'au fond, s'était vrai, mais tu ne voulais y croire. Alors tu l'attendais toujours. Tu devenais de plus en plus désagréable. Mais s'était normal. Tu te retrouvais seule à nouveau, alors tu t'armais de tes piques. Après tout, il était partis.

Les Carcassa ne dirent rien. Ils ressentaient sûrement eux aussi un vide, mais ils le montraient beaucoup moins que toi. Tu t'en fichais, tant qu'ils te foutaient la paix. Du moment que tu avais ta solitude.

Du moment qu'il allait revenir lui.

Une semaine. Toujours rien. La nouvelle courraient encore plus le monde de la famille, et surtout ta petite Italie. Alors tu compris que c'était vrai. Il ne reviendrait pas. Tu aurais beau l'attendre, il ne reviendrait plus. Ni lui, ni aucun des autres arcobalenos. Mais surtout lui.

Tu ne montras aucun sentiment, mais ton cœur brûlait part des larmes retenus. Mais tu ne montras rien. Tu t'enfermas un peu plus dans ton petit monde. Tu te collas un peu plus à ton rôle de gardien du nuage de cette famille.

Tu soupiras, tu ne savais pas trop quoi faire, tes yeux revenants un peu rouges, tu devais te ressaisir. Ce n'était pas digne de toi. Tu ne devais pas montrer que tu t'étais attacher à quelqu'un. Ce serait une honte pour toi. Une véritable, une calamité humaine même.

Alors tu te tus. Tu restas de marbre. Tu ne jeta rien de ce qu'il lui appartenait, tu gardas même ses chaussettes, tu ne les lavas pas. Jamais. C'était comme si tu l'attendais encore et qu'avec, tu sentais une présence rassurante grâce à cette odeur si puante.

Tu en riais jaune, tu en souffrais vraiment. Mais qu'importe, tu te vengerais sur tout ceux qui te passeront sous ta main. Tout ceux qui lui avaient fait outrage. Il était l'arcobaleno du nuage. Tu étais la gardienne du nuage. Vous aviez des points communs. S'était ça qui t'avait rapproché de lui. Mais maintenant, ça t'éloignait du monde. Et ton cœur criait vengeance. Ton âme hurlait souffrance. Tu n'étais qu'une « adolescente ». Tu étais juste quelqu'un qui entrée un peu plus dans la réalité chaque jours.

Et tu t'en souviens. De ta jeunesse. Ce banc. Tu rêvais d'être un nuage. Tu l'étais désormais. Et tu en avais rejoins un autre, comme ceux qui étaient dans le ciel.

Et cette pensée te sembla rassurante. Tu avais rêvé d'être un nuage, ça s'était produit.

Il te suffisait de rêver qu'il revienne pour que ce soit le cas, n'est-ce pas ?
❀ Weapon ❀

Anneaux ₪ Je possède un anneau du nuage ayant une pureté classé C, appartenant au carcassa, et un anneau du soleil en possédant une dîtes D.
Armes ₪ Mon arme ? S'est la plus belle des armes. Elle me colle si bien à la peau que je ne m'en sépare jamais. Mon arme, s'est un rouleau de fil de fer. Non, ce n'est pas pour faire du bricolage, mais des fils de fer peuvent aller n'importe où, et mine de rien, ça fait mal. Après tout, si on met un fil par terre et qu'on le tend grâce à deux extrémité, et quelqu'un tombe grâce à lui, il peut se retrouver en mauvaise posture. Ou si le fil lui passe tout près de la gorge, cela peut encore être pire. Alors oui, je me bats avec des fils de fer qu'on trouve en supermarché. Elle est pas belle la vie ?
Boîtes Armes ₪ Corde | Une vraie corde, comme celle d'un bateau de pirate. Une lourde, qui brûle la peau quand on la tire. Une avec un nœud au bout, pour assommer les gens, qui sait.
Rat | Un pauvre rat nommé Croutard se trouve dans cette boîte de nuage. De couleur marron rôti avec une queue à moitié coupé, il n'est pas du tout adorable. Pourtant, Cherry l'aime bien et le traite comme n'importe quel animal au monde.
Rangement | Elle y range n'importe quoi, la plupart du temps, ça lui sert de sac à main. Comme celui de Bécassine, oui oui.

Techniques ₪
  • Technique I
  • Technique II
  • Technique III
  • Technique IV
  • Technique V
  • Technique VI
  • Technique VII
  • Technique VIII
  • Technique IX
  • Technique X
❀ Moustaches ❀

Âge ₪ J'en ai quatorze. Mais on me donne parfois plus. - genre dix-huit, l'truc trop louche quoi-
Connaissance ₪ S'est Hibird qui me l'a montré, limite il chantait la chanson d’Hélène pour que je vienne.
Réglement ₪ Je l'ai lu. Je l'ai relu. J'ai aimé les ornithorynques pour vous faire plaisir. Alors hein.
Respect ₪ Ceux qui me connaissent le savent. Les autres : SURPRISE. ♥
Animal favori ₪ Les ornithorynques, j’aime ça.
Niveau ₪ Je ne trouve pas mon niveau très top ... Mais Aki me dit qu'il est bon. Alors je vais dire un petit moyen. Mon orthographe et ma grammaire son mes plus gros défauts dans mes posts.
Autres ₪ Le PA fait un peu vide ... Tout est centré en deux colonnes mais les deux colonnes ne prennent pas toute la largeur ... Sinon, il l'a dit :
Spoiler:




Dernière édition par Cherry B. Smush le Jeu 30 Aoû - 13:57, édité 23 fois
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Cherry B. Smush
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Arme : Des fils de fer.
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MessageSujet: Re: Cherry's Life ₪ Little Queen ❀    Cherry's Life ₪ Little Queen ❀  EmptyJeu 30 Aoû - 16:29

Et bien que dire ? A part que j'ai fini, que dalle. :DD

Bonne lecture à vous, vieilles gens. *PAN*
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Ryu Serizawa Tamao
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MessageSujet: Re: Cherry's Life ₪ Little Queen ❀    Cherry's Life ₪ Little Queen ❀  EmptyJeu 30 Aoû - 23:50

Je suis très heureux de désormais pouvoir te compter comme un même à par entière de la Carcassa Family. Félicitations et taches de nous montrer en quoi vous êtes supérieur au Vongola. Et surtout n'oublie pas ta fiche technique ^^
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Kyôya Hibari
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Arme : Tonfas.
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MessageSujet: Re: Cherry's Life ₪ Little Queen ❀    Cherry's Life ₪ Little Queen ❀  EmptyVen 31 Aoû - 19:29

Après avoir galéré pour pouvoir te valider même si tu l'es déjà, ben je te valide. J'y tenais trop, j'aime trop ton perso, j'aime ta plume, j'ai rien à redire. Marry me, peut-être ? /pan
Sinon, un rat... Croutard...... Tu parles sérieux ? xDDD Bref bref, bienvenue, bon RP, toussa toussa, et oublie pas qu'il faut qu'on RP quand ma co sera stable et qu'on a un lien hinhin.
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