Je me penchais légèrement en avant et déposais avec douceur mes lèvres sur les siennes qui avaient un goût de fraise. Je laissais doucement ma langue glisser sur les siennes qu'il entrouvrit, sans le vouloir j'en suis sûr, me laissant jouer avec la sienne. Je passa doucement ma main sous sa chemise en l'embrassant, souriant sadiquement. À un moment, il dû se rendre compte de se que j'étais en train de lui faire et il me mordit violemment la langue, m'arrachant une exclamation frustrée et un regard noir.

Il l'embrassa alors, faisant écarquiller les yeux d'Akira, et passa sa langue dans sa bouche. Il la sentait, mais il était paralysé, et ne savait que faire.
C'est au moment ou l'inconnu commença à jouer avec sa langue et à passer sa main sous sa chemise qu'il réagit.

Je montais à quatre pattes sur le lit et avançais vers le blondinet. Tellement mignon que ça donne envie de le croquer. Je m'approchais encore plus près et le tirais avec brusquerie vers moi. Il lâcha une exclamation apeurée et essaya de se défaire de ma prise. Grave erreur, vu que je m'asseyait sur son bassin et plaquait une de mes mains sur ses poignets joints. Il était petit par rapport à moi, mais ça m'arrangeait.

Il gigotait beaucoup ce mec ! Je passa doucement ma langue sur le lobe de son oreille droite et il me mordit l'épaule. Masochiste en puissance on dirait. Je descendais dans son cou et lui faisait un suçon près de sa carotide. Il hurla dès qu'il sentit ma langue toucher sa peau mais ne réussi par à se libérer.

" Calme toi... ", lui soufflais-je à l'oreille.

Il rougit violemment et gigota encore plus. Quel blondinet intéressant... Je descendis vers sa clavicule et la mordilla, faisant taire et arrêter de bouger le petit blond. Je releva doucement la tête et le regardais dans les yeux. Il avait une mine choquée et un teint coquelicot. Je déposa mes lèvres contre les siennes et il les entrouvrit automatiquement. Tellement mignon...

J'introduisis ma langue dans sa bouche et commença à l'embrasser. Je le sentis s'exciter sous moi et ses yeux se fermèrent d'eux mêmes. En intensifiant le baiser, je passait ma main libre dans sa chemise, faisant sauter les boutons au passage, et me mit à jouer avec l'un de ses tétons. Il gémit et se cambra légèrement. Je relâchais l'étreinte sur ses poignets et arrêtais de l'embrasser. Je le contournais et m'asseyais derrière lui. M'amuser un peu, voilà ce que j'allais faire.

Son pantalon était déformé par son sexe tendu, je le lui détacha donc. Il s'appuya contre mon torse, souleva son bassin et retira son pantalon. Je glissa une main dans son boxer couleur ébène et de l'autre, je continuais de jouer avec ses tétons. Avec ma main posée dans son boxer, je lui touchais le sexe, le prenant parfois en main, juste pour le faire languir.

Il gémit encore plus fort et se tortilla, essayant de se soulager. Je le mordis violemment à l'épaule et recommençais mon manège sur plusieurs partie de son corps. Je lui murmura alors à l'oreille :

" Tu sais ce qui est en train de se passer, chez toi ?
- Nhhh..., gémit-il au moment où je passais mon pouce sur son gland.
- Tes parents sont en train de se faire massacrer, toute ta famille aussi...", soufflais-je.

Ses yeux s'écarquillèrent et il essaya vainement de se défaire de mon étreinte. De mon bras libre, je le plaquais contre mon torse et de l'autre, je commença à le caresser. Il gémit mais essaya de se concentrer sur un point invisible de la chambre. Quel idiot...

" Imagine toi la scène. Ton père est au milieu de la pièce, attaché, le garçon aux cheveux argentés est derrière lui, ses dagues à la main. , murmurais-je.
- Nh... Non, c'est faux... , gémit-il.
- C'est vrai pourtant. Il se fait trancher la tête. SPLASH ! Il y a du sang partout dans la salle. Tes grands parents sont par terre, démembrés, tes cousins sont sur les canapés, éventrés..., soufflais-je à son oreille en pressant légèrement le gland.
Il gémit plus fort et me dit, la voix entrecoupée de sanglots :
- N.. Non.. Ce n'est.. Pas... Pas vrai...
- Dans l'escalier, il y a ta petite sœur, les yeux arrachés... Dans le couloir de ta chambre, ta mère qui était venue te chercher, allongée par terre, dans une flaque de sang... ", continuais-je.

Il ne dit rien, se contentant de refouler ses sanglots et ses larmes. La cadence se fit effrénée et il éjacula en hurlant de rage et de peine.

Le garçon montait à quatre pattes sur le lit et s'approchait, attirant Akira vers lui quand il fut assez près. Celui-ci poussa un cris apeuré et essaya de se défaire, mais malheureusement il sentit le jeune garçon s'assoir sur son bassin et lui bloquer les poignets d'une seule main.
Akira était allongé dans une position pas très confortable, mais la, tout se qu'il voulait, s'était s'enfuir d'ici, et de se libérer de son étreinte. Il ne pensait pas à son confort, loin de la.

Le garçon aux cheveux ébènes passa sa langue sur le lobe de son oreille droite et pour s'empêcher de crier, Akira le mordit à l'épaule. Mais il descendit vers sa carotide et le jeune Hatori hurla lorsqu'il sentit la langue sur sa peau. Il se débattit sans aucuns résultat, le garçon l'en empêchant.

" Calme toi... "
Ses mots firent l'effet inverse. Akira gigota plus violemment en poussant des gémissements, mais il fut stoppé net, tel un film que l'on met en pause, au moment ou il sentit une douleur aigu au niveau de sa clavicule.
C'est alors que le brun releva sa tête, le regardant dans les yeux.
Le blondinet était choqué, il était devenu rouge à force de se débattre, à cause de la peur et du fait qu'il avait chaud.

Il écarquilla les yeux lorsqu'il sentit les lèvre du garçon se poser sur les siennes. Sa langue prit possession de sa bouche et il commença à l'embrasser. Akira ferma les yeux malgré lui et arrête de bouger. Il était bien obliger, il ne pouvait rien faire, plus rien faire.

Le baisé s'intensifia et Akira sentit la main froide de son kidnappeur passer sous sa chemise, dont les boutons explosèrent . Il gémit -non pas de plaisir- et se cambra sans le vouloir, son corps ne lui obéissant plus.
Il sentit l'étreinte de ses poignets se défaire et il vit l'inconnu le contourner, et ainsi passer derrière lui.
Sa respiration commencé à devenir saccadé. Il n'en pouvait plus, il voulait que tout ça s'arrête, mais il savait que le garçon n'en avait pas fini avec lui. Et dire qu'il, semblait être plus jeune que lui...Pourquoi Akira avait-il peur d'un garçon plus jeune ? Il se le demandait vraiment.

L'adolescent détacha alors son pantalon, et sans qu'il ne puisse empêcher ses membres de bouger,il le retira lui même.
Le garçon s'amusa avec ses tétons d'une main, et de l'autre il lui touchait son sexe, voir le prendre par moment, ce qui le fit gémir.
- Aaahg...A...Arrête...!
Akira sentit qu'il le mordait à plusieurs endroits. Il ne put s'empêcher de gémir...de douleur.
"Tu sais se qui est en train de se passer, chez toi ?
Au même moment, il lui toucha le gland, ne le laissant pas répondre correctement.
-Nhhh...
- Tes parents sont en train de se faire massacrer, toute ta famille aussi..."

Il écarquilla les yeux, se débattant violemment. Non, il ne pouvait pas le croire, il mentait !
Akira le sentit le bloquer avec son bras valide et caresser de nouveau sa virginité, ce qui le fit gémir de plus bel, et plus fort.
Il essaya de se concentrer sur un point de la chambre, mais en vain, il n'y arrivait pas.
"Imagine toi la scène. Ton père est au
milieu de la pièce, attaché, le garçon aux cheveux argentés est derrière
lui, ses dagues à la main.

Le jeune Hatori ferma les yeux, pour s'empêcher de vomir. Il essayait de ne pas voir les images, mais celles qu'il voyait lui donnaient envie de mourir.
- Nh... Non, c'est faux...
- C'est vrai pourtant. Il se fait
trancher la tête. SPLASH ! Il y a du sang partout dans la salle. Tes
grands parents sont par terre, démembrés, tes cousins sont sur les
canapés, éventrés...

Il pressa de nouveau son gland, le faisant de nouveau gémir, mais cette fois-ci s'était réellement des gémissements de souffrance, qui étaient entre-coupé par les sanglots qui venaient.
- N.. Non.. Ce n'est.. Pas... Pas vrai...
Dans l'escalier, il y a ta petite sœur,
les yeux arrachés... Dans le couloir de ta chambre, ta mère qui était
venue te chercher, allongée par terre, dans une flaque de sang...
Akira éclata en sanglot, il ne pouvait plus retenir ses larmes. On sentait le désespoir dans ses pleures, son plus profond désespoir...
l'inconnu accélérât alors la cadence des caresse, faisant hurler de rage, de désespoir et de peine Akira, qui éjacula en même temps.